bonjour, je suis nouveau dans ces discussions

carreeleonor

Virgin
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Jan 6, 2019
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Bonjour,
Je lis depuis longtemps Literotica et suis galvanisé par ce site incroyable. Ici je ne sais plus si je préfère être homme ou femme. Je viens d'écrire une première histoire et cherche à la publier.
Avant de le faire, avez-vous des conseils à me donner ?
Voici le début de mon histoire (humiliations douce et cérébrale homme et femme, cuckold, couple marié ont mes préférences...)
A vous lire.... Merci.

1. Retour de gala
Je souris dans le miroir de ma coiffeuse. Comme je l’espérais, mon mari frappe trois coups timides à la porte de notre chambre. Ca me fait immensément plaisir.
J’étais à peine démaquillée. Il est tard, nous venons de rentrer depuis peu d’un gala de bienfaisance et je rêve devant le miroir de ma coiffeuse, pendant que mon mari prend une douche dans la chambre d’amis. J’avais conservé ma belle robe à bretelles spaghettis qui ne soutiennent pas ma poitrine. Je me lève pour ouvrir la porte et regarde mes seins. Certes ils sont plus lourds, j’ai trente quatre ans et j’ai allaité notre fille pendant six mois. Mais je peux, heureusement, être encore fière de ma silhouette. La peau blanche de mes bras et de mes épaules tranche avec la couleur noire…
Stupéfaite je découvre mon mari dans le couloir avec sa grande veste de pyjama, elle lui descend un peu sur les cuisses*; il ne dort pas nu. Il n’a pas mis sa robe de chambre et je me doute qu’il est nu en dessous. Il suffirait qu’il monte les bras au dessus de sa tête pour que je vois son sexe. Je me retiens de rire en portant la main à bouche.
Mais chéri, que fais-tu dans cette tenue*? Tu aurais pu t’habiller un peu plus convenablement.
Je ne parlais pas trop fort car la chambre de la jeune fille, Anaïs, une étudiante de vingt deux ans, était proche. Elle garde de temps en temps notre fille Claire pendant nos absences René me regarde avec un petit air de chien battu.
Claire, ma chérie, ma robe de chambre est sur la chaise à côté de notre lit, je viens la chercher.
- C’est un prétexte pour venir me voir ça chéri, tu n’en as pas besoin pour dormir.
Il a un sourire.
Oui mais demain matin, si je croise l’étudiante en me levant dit-il en chuchotant.
Ce coup-ci j’éclate de rire en imaginant la scène, mon mari croise Anaïs au réveil, il ne porte que sa veste de pyjama qui lui couvrent à peine les cuisses, les jambes nues et son sexe qui se balance en dessous. Mais je sais qu’il est venu surtout pour espérer rentrer coucher dans notre lit.
Mon chéri, tu sais que tu ne peux pas rentrer dans notre chambre, la thérapeute nous a interdit d’avoir des rapports et de dormir séparés jusqu’à notre prochaine séance avec elle.
- Je m’en fiche de la thérapeute mon amour, je n’en peux plus moi…
- Ah dis donc c’est toi qui as voulu que nous allions la voir, c’est toi qui m’a amenée de force dans son cabinet, il faudrait savoir ce que tu veux.
 
C’est en effet un très bon début. Je me suis permis de faire une petite édition que je vous offre bien humblement…

1. Retour de gala
Je souris devant le miroir de ma coiffeuse. Comme je l’espérais, mon mari frappe trois coups timides à la porte de notre chambre. Cela me fait immensément plaisir.
Je suis à peine démaquillée. Il est tard, nous venons de rentrer depuis peu d’un gala de bienfaisance. J’étais perdue dans mes pensées depuis quelques minutes devant le miroir de ma coiffeuse pendant que mon mari prenait une douche dans la chambre d’amis. J’ai conservé ma belle robe à bretelles spaghettis qui ne soutient pas complètement ma poitrine.
Je me lève pour ouvrir la porte et je regarde mes seins. Ils sont certes plus lourds. J’ai trente-quatre ans et j’ai allaité notre fille pendant six mois. Mais heureusement, je peux être encore fière de ma silhouette. La peau blanche de mes bras et de mes épaules tranche avec la couleur noire…
Je suis stupéfaite en ouvrant la porte. Je découvre mon mari dans le couloir avec sa grande veste de pyjama. Elle lui descend un peu sur les cuisses. Il ne dort pas nu. Il n’a pas mis sa robe de chambre et je me doute qu’il est nu sous sa veste. Il suffirait qu’il relève les bras au-dessus de sa tête pour que je voie son sexe. Je me retiens pour ne pas rire en portant la main à bouche.
Mais chéri, que fais-tu dans cette tenue? Tu aurais pu t’habiller un peu plus convenablement.
Je parle à voix basse, car la chambre d’Anaïs, est près d’où je me tiens. Anaïs est une étudiante de vingt-deux ans qui garde de temps à autre notre fille Claire pendant nos absences. René me regarde avec un petit air de chien battu.
Claire, ma chérie, ma robe de chambre est sur la chaise à côté de notre lit, je viens la chercher.
—C’est un prétexte pour venir me voir ça chéri, tu n’en as pas besoin pour dormir.
Il me sourit. Puis il me chuchote.
—Oui, mais demain matin, si je croise Anaïs en me levant…
Ce coup-ci j’éclate de rire en imaginant la scène. Mon mari croise Anaïs au réveil. Il ne porte que sa veste de pyjama qui lui couvre à peine les cuisses. Ses jambes nues et son sexe qui se balance en dessous. Je sais qu’il espère entrer dans la chambre et se coucher dans le lit conjugal.
—Mon chéri, tu sais que tu ne peux pas rentrer dans notre chambre, la thérapeute nous a interdit d’avoir des rapports et nous devons faire chambre à part jusqu’à notre prochaine séance avec elle.
—Je m’en fiche de la thérapeute, mon amour. Je n’en peux plus moi…
—Ah! Dis donc, ce n’est pas toi qui as voulu que nous allions la voir. Ce n’est pas toi qui m’as amenée de force dans son cabinet. Il faudrait que tu décides ce que tu veux…
 
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