Karine

SamBotte

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Feb 8, 2010
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Voici un autre récit de présentation d'une très bonne amie à moi...
 
J'ai connu Karine au travail en 2000. La première fois que je l'ai vue, j'ai flashé sur sa plastique parfaite qu'elle souligne en portant régulièrement 10 cm de talons (minimum !). Pour couronner le tout, ces talons (aiguilles ou droits) soutiennent bien souvent des bottes ou des boots. Bref, chaque fois que je la vois, il faut que je me retienne pour ne pas baver !!!

L'histoire qui suit a commencé en Janvier 2003 : je devais récupérer 2 entrées pour le Trophée Andros et je l'ai appelée pour lui proposer d'y monter avec moi. Elle m'a remercié mais a décliné l'invitation en me disant qu'elle préférait le sable chaud à la neige et à la glace. J'ai bien senti à sa voix qu'elle n'était pas en forme, mais à ce moment précis, j'ai du couper la communication. Je lui ai retéléphoné l'après-midi au moment où je partais pour Lans en Vercors et je lui ai dit que j'avais l'impression qu'elle n'avait pas la pêche. Elle m'a répondu en sanglotant à moitié qu'effectivement, elle avait le moral en dessous de zéro. Je lui ai juste dit "J'arrive" et 10 minutes plus tard, elle m'ouvrait sa porte.
Elle, habituellement toujours habillée si classe, avait les yeux rouges, le visage défait et portait un peignoir par dessus son déshabillé de satin noir. Au moment où j'ai pris place à coté d'elle dans son canapé, j'ai immédiatement remarqué ses bottes noires à talons lames de 9cm posées par terre.
Je l'ai écouté me raconter ce qui l'avait mise dans cet état (des histoires de cœur…) puis je l'ai réconfortée et j'ai longuement parlé avec elle.
Au bout d'une heure peut-être, j'ai amené la conversation sur ses bottes en lui en demandant la pointure. Quand elle m'a dit "37", je lui ai dit "Elles me paraissent grandes pour du 37, j'aurais plutôt dit 38". Au moment où elle me disait "Non, non, habituellement, je prends du 36, mais celles-là n'étaient plus qu'en 37", j'ai enfilé le pied droit sans même lui demander la permission. Il faut préciser que, comme je partais pour passer la moitié de la nuit en montagne, cet "enfilage" était grandement facilité par le fait que je portais sous ma salopette de ski une paire de collants (de femme); c'est un vieux truc connu de tous les motards pour ne pas avoir trop froid en hiver sans se déguiser en bibendum en portant un caleçon molletonné. A ce moment, son téléphone a sonné. Pendant qu'elle répondait à son interlocuteur, j'ai chaussé le pied gauche et je me suis levé pour marcher dans la pièce.
Dans la mesure où ces bottes étaient en fait un "37 large" et que je chausse quand même du 39, j'étais un peu serré dedans et je n'avais pas pu remonter la fermeture éclair sur mon mollet. C'est donc ma salopette de ski qui faisait tenir les bottes sur ma jambe. Malgré tout, savoir que je portais aux pieds les superbes bottes à talons hauts de cette fille qui me faisait tant d'effet m'excitait au plus haut point et compensait largement que je sois un peu à l'étroit !
Quand elle a raccroché, elle m'a dit un truc du genre "Bin, t'es chouette comme ça", alors je lui ai répondu "Tu vois, j'aurais au moins réussi à te faire sourire aujourd'hui !". Elle a ajouté "J'aurais pas cru que tu puisses rentrer dedans, mais c'est vrai qu'elles sont un peu larges pour moi". Je lui ai demandé de me faire voir ses autres bottes, et j'ai essayé, mais en vain, de rentrer dedans : elles étaient vraiment trop petites.
Je suis resté encore un peu avec elle, puis je suis parti. Elle m'a remercié de ma gentillesse et de ce que je venais de faire pour elle, et de ce jour là, notre amitié a encore grandi.


Début 2005, je suis allé chez elle un vendredi après-midi. J'avais la ferme intention de remettre (au moins 5 minutes) ses bottes.
On a commencé à parler de tout et de rien, et puis, je lui ai demandé si elle les avait toujours. Elle m'a dit "Oh non, elles sont parties au cimetière des bottes celles-là !". Je ne me souviens plus au mot près de ce qu'elle a ajouté, mais je sais que je l'ai suivie dans sa chambre où elle a sorti pour moi les 3 paires de bottes qui étaient dans son armoire. Je sais juste que ça se terminait par un truc du genre qu'elles étaient "limite fetish".
Et là, sans que je n'aie rien prémédité, j'ai commencé à lui dire "Attends, MOI, je suis fétichiste" et à me livrer entièrement à elle. Je lui ai dit que nous n'avions plus de vie sexuelle avec ma femme et que mon fantasme absolu serait de pouvoir me transformer en femme au moment de l'amour, connaître l'orgasme coté féminin, et que c'était peut-être un peu pour cela que je me travestissais dès que j'en avais l'occasion, comme pour être moi-même cette femme idéale. Non seulement elle ne s'est pas moquée de moi, mais elle m'a dit qu'elle me comprenait et qu'elle ne voyait pas en quoi ça pouvait gêner les gens que j'aime à marcher en talons aiguilles.

Et puis, huit jours après, je suis retourné la voir. Comme je me l'étais promis, je me suis rendu chez elle avec mes bottes noires et bleues (et leur talon aiguille de 8cm) aux pieds. C'est marrant, en fait, elle ne s'en est même pas rendu compte tout de suite. C'est moi qui lui ai demandé ce qu'elle en pensait quand elle m'a fait visiter la maison qu'elle vient d'acheter avec son mec; elle m'a dit "Waôw ! Ah oui... Elles sont super !".
J'ai enlevé la botte droite et je lui ai tendue en lui faisant remarquer la qualité de la doublure en peau ainsi que la souplesse et la douceur du cuir.
Tandis qu'elle acquiesçait, je lui ai dit "Vas-y, essaye la, tu vas voir comme on est bien dedans". Elle m'a répondu " C'est dommage, elles n'ont pas assez de talon pour moi..." mais l'a quand même passée pour constater qu'elle était trop grande (normal, je rappelle qu'elle chausse du 36/36.5 et que mes bottes sont du 39.5/40) mais qu'elles étaient effectivement très confortables.
Je lui ai dit que moi aussi, je finissais par regretter que les talons ne soient pas encore plus hauts, que je rêvais d'avoir des bottes avec 10 cm de talons. Elle m'a dit qu'elle était certaine que je réussirais à m'y faire et à marcher sans problème avec, alors je lui ai répondu que j'en étais sûr aussi, que déjà, j'arrivais à courir sur ces talons-là (ceux de 8 cm).
Ensuite, je lui ai déballé toute ma garde-robe (de l'époque) : ma 2ème paire de bottes, mes 2 jupes en cuir, ma nuisette, mon top rose et ma lingerie. Elle a "apprécié" mon string noir et mon porte-jarretelles mais a été tout à fait de mon avis quand je lui ai montré mon soutif que moi-même, je ne trouve pas terrible du tout. Elle m'a dit "Il t'en faudrait un noir, pour que ça soit assorti au reste. Tu sais, tu peux en trouver facilement en grande surface". Je lui ai répondu "C'est certain mais je n'ai pas les moyens d'en acheter un neuf, tu es bien placée pour savoir que ça coûte cher... Ca fait longtemps que j'en cherche un mieux que celui-ci, mais ils n'en ont jamais comme je veux au Secours Catholique". J'ai en effet pris l'habitude d'aller régulièrement faire un tour dans la boutique de cette association caritative à partir du moment où j'ai découvert qu'on pouvait y trouver des bottes et des vêtements féminins en excellent état, voire de très grande qualité. La preuve en est cette paire de bottes qui ne sont rien moins que des Adige, grande marque française s'il en est ! On a un peu "parlé chiffon", je lui ai dit "Il y a 2/3 trucs que je voudrais vraiment pouvoir trouver, c'est primo, une autre paire de bottes parce que mes bordeaux commencent à être usées, deuzio, une paire de gants en cuir fin et les plus longs possibles, et enfin, un boxer short. Mais LE problème avec le Secours Catho, c'est que ce n'est pas un magasin, tu peux très bien mettre des mois à trouver ce que tu veux... Par contre, si tu as de la chance, je te raconte pas les affaires que tu peux faire". Elle m'a dit "Moi, j'aimerais bien une jupe comme la tienne". Je lui ai répondu que j'aimerais bien en trouver (pour moi) une toute courte, une vrai mini, pendant qu'elle, elle enfilait ma jupe par dessus son jean pour l'essayer. Elle m'a dit "Merde ! Dommage, c'est trop grand !"... Et elle a ajouté "Bon, c'est normal, c'est un 38 ! Par contre, tiens, si tu m'en trouves une comme ça en 36, achète-la moi, je te la rembourserai aussitôt".
A ce moment là, j'étais aux anges ! En fait, il faut dire que les quelques jours précédant cette visite, j'avais rêvé qu'elle me demande ou me suggère de me travestir devant elle.

Je m'étais carrément fait un film dans ma tête : pour commencer, elle m'accueillait, vêtue de son mini blouson en cuir et de son pantalon en PVC (que je n'ai jamais vus ni l'un ni l'autre, mais dont elle m'avait parlé la fois précédente); au moment où je lui montrais ma garde-robe, je lui demandais si elle voulait que je lui montre "ce que ça donnait sur moi" et elle me disait "Oui"; elle constatait ensuite que je bandais sous ma jupe en cuir et que je me caressais à moitié; je savais qu'elle n'accepterait pas que nous faisions l'amour ensemble, alors je lui demandais si elle ne voudrait pas malgré tout me caresser à la main; et alors, elle me répondait "je peux faire mieux, je suis sûre que tu aimeras"; elle me poussait doucement par les épaules pour que je m'allonge sur le canapé, puis elle me chevauchait et me masturbait en frottant sa vulve contre mon sexe raide et droit comme un "I", prolongeant ses va et vient jusqu'à ce que j'éjacule sur le latex du pantalon qu'elle portait; alors, pour finir, je nettoyais celui-ci en léchant mon propre sperme, lui provoquant un orgasme avec ma bouche…

Bien sûr, rien de ce fantasme ne s'est réalisé (hélas !!!), mais tout cela laisse imaginer mon état lorsqu'elle a passé ma jupe par-dessus son jean !

J'ai parlé un peu plus tard, au moment de partir, que maintenant qu'elle savait tout de moi, on pourrait à l'avenir papoter ensemble "comme deux copines" (sic), que la seule chose que je regrettais, c'est qu'elle ne chausse pas du 39 et taille 38 en jupe, parce que si ça avait été le cas, on aurait pu carrément s'échanger nos fringues. Elle m'a répondu en souriant que là, effectivement, c'était raté, parce qu'elle faisait 36 en chaussures comme en vêtements.
Elle semblait comprendre et admettre parfaitement que je porte des vêtements féminins dès que j'avais l'occasion d'être seul chez moi. Elle m'a demandé si j'étais déjà sorti dans la rue ainsi, je lui ai dit que non, que de toutes façons, je n'avais pas de perruque, que donc, je ne pouvais pas faire illusion. En fait, j'aimerais bien le faire, pas du tout pour me faire draguer, mais juste pour le plaisir d'avoir un instant l'illusion d'être femme...
Ensuite, on s'est assis autour de la table, et j'ai reparlé de la manière dont je vivais tout ça. A sa demande, je lui ai expliqué que je cachais ma garde-robe dans le sac à dos contenant mes affaires de moto au garage, parce que ma femme n'y met jamais les pieds...
A 19H00, je l'ai quittée et je suis rentré chez moi après l'avoir remercié de m'avoir autant écouté. Au moment de partir, elle m'a dit "Tu vas rentrer avec tes bottes? Non, hein ! Comment tu vas faire?" et je lui ai expliqué que je les enlèverai, comme d'hab', en rentrant la voiture au garage.

Je l'ai revue à nouveau une quinzaine de jours plus tard, moi en bottes et elle, ce jour-là, en pantoufle. Ca faisait drôle, parce que, "avant", quand on se voyait, elle était toujours sur 10 cm de talons et moi en tennis, et là, c'était l'inverse, du coup, j'étais vraiment plus grand qu'elle d'une vingtaine de centimètres à peu près !
La surprise (enfin, pour moi), c'est quand j'ai vu la bagnole de son mec se garer devant la maison. J'ai dit à Karine "Ah bin, là, c'est bête, mais mes tennis sont dans la voiture, alors…". Comprenant mes craintes, elle m'a dit "Ne t'en fais pas, il est aussi cool que moi, crois-moi" ! Par la suite, je lui ai demandé si ce jour là, il avait remarqué quelque chose, et ce qu'il avait dit. Elle m'a dit "Oui, il remarqué. Il m'a demandé 'Ton ami portait des bottes de femme, non?', je lui ai répondu 'Oui' et ça lui a suffi. Je te l'avais dit, il est cool !"…

Il m'a fallu attendre près de deux ans pour que je ne fasse une découverte qui devait s'avérer par la suite riche de conséquences : en allant fouiner au "Secours Catho", j'ai découvert sur un cintre une jupe en cuir, non, pas "une" jupe, en cuir, "LA" jupe en cuir ! La peausserie autant que le satin de la doublure étaient les plus douces et sensuelles qu'il m'ait jamais été donné de toucher, elle paraissait très longue et elle me fit complètement craquer au premier coup d'œil. Je constatais en la plaquant sur ma ceinture qu'elle descendait jusqu'à mes chevilles, mais aussi malheureusement qu'elle me paraissait beaucoup plus proche du 36 que du 38. Sans rien demander à personne, je me dirigeai vers la cabine d'essayage, en tirai le rideau et me glissai dans la jupe. La douceur que j'avais constatée sous mes doigts généra un frisson de plaisir quand elle inonda mes cuisses. Mais hélas, trois fois hélas, il manquait définitivement une taille et je ne pouvais la fermer ni même remonter la fine fermeture éclair jusqu'en haut. Je ressortis donc et décidai d'appeler Karine, car je ne pouvais me résigner à laisser partir cet obscur objet de mon désir. Je lui expliquai que j'avais déniché deux jupes de cuir à sa taille, dont l'une était tellement fabuleuse que j'aurais voulu me l'acheter mais que je ne rentrai pas dedans. Elle me dit sans hésiter "Vu le prix (25 Euros les deux !!!), vas-y fonce, achète les deux et je te les rembourse".
Trois quart d'heure plus tard, j'étais chez elle, mais –ce n'était décidément pas ma journée-, elle m'avait prévenu au bout du fil que la famille de son mec était chez elle, car ils étaient en vacances dans notre belle région. Je dus donc me contenter de lui apporter les jupes sans même pouvoir lui demander de les essayer devant moi. Elle me confirma juste par téléphone la semaine suivante qu'elles étaient toutes deux à sa taille.


Et le temps a passé, nous sous sommes plusieurs fois vus tous deux bottés et talonnés, mais à mon grand dam, je n'ai jamais eu l'occasion de me présenter à elle "habillé(e) en fille" …

Et puis, à l'automne 2007, à l'occasion d'une visite "seule à seule", je lui présentai la minijupe en cuir noir que je venais de trouver (au Secours Catholique, bien sur), et lui reparlai de cette jupe qui me faisait tant regretter d'avoir pris quelques kilos au fil des ans. Elle me dit "Ah ça, oui, elle est vraiment extra". J'en remis une couche "Oui, c'est trop, je n'avais jamais vu une jupe d'une telle qualité et d'une telle douceur. Tu voudrais bien la mettre pour moi?". Elle me répondit "T'es fou, mon mec ne va pas tarder, si jamais on se fait spotter… Non, je peux pas ! Par contre, si tu veux, je te la prête." . Je lui dis "C'est pas que je veux pas, mais tu disais toi-même il y a 10 minutes qu'on n'arrive presque pas à se voir, alors, quand est-ce que je te la rendrai???". Elle conclut d'un ton qui n'appelait pas de répartie que je n'aurais de toutes façons pas songé à émettre "Et bien, tu me la rendras quand tu me la rendras, c'est pas grave, je sais qu'elle est en de bonnes mains." !
En partant de chez elle, je pris dès que je pus un chemin de traverse et me masturbai dans ma voiture avec cette merveille. Je découvris quelques jours plus tard que les repas plus légers pris lors de la période estivale me permettaient maintenant en rentrant le ventre et en retenant ma respiration de fermer complètement la jupe. Et puis, les essayages se succédant, la ceinture se distendit quelque peu et je constatai l'hiver venu que je pouvais désormais porter la jupe de Karine !

En Janvier 2008, elle m'a annoncé qu'elle quittait Grenoble deux mois plus tard pour suivre son homme qui était muté à Toulouse. Je lui dis qu'il fallait qu'on réussisse à se voir rapidement afin que je puisse lui restituer son bien, "même si je devais le regretter" ajoutais-je avec ironie. Elle me dit alors "Eh bin tu sais quoi, mon Sam? Tu n'as qu'à la garder ! On n'aura qu'à dire que c'est mon cadeau d'adieu !" Je lui répondis "Vrai? Oh putain, alors, là, c'est le plus beau cadeau que tu pouvais me faire !".

Et c'est ainsi qu'aujourd'hui, Karine et sa jupe sont pour toujours au cœur de mes plaisirs…
 
La jupe de Karine en images

Voici (pour commencer) deux images "soft" du cadeau d'adieu de Karine...
 
Finalement, à l'usage, je révise mon jugement. Le côté brut, factuel, n'est pas sans évoquer un certain style, entre le reportage et le carnet de bord. Un style auquel on s'habitue; un peu comme la Suze... C'est pas franchement bon, mais après deux trois verres on en redemande...

Bien sûr, dans "mon" monde, Karine aurait habité un château et vous l'auriez rencontrée alors que vous veniez, à l'invitation de son vicomte de mari, passer un coup de térébenthine sur les toiles de la galerie des ancètres; mais bon, ce n'est, une fois encore, que de moi et de mon indécrottable affection pour le XVIIIe. Le siècle, pas l'arrondissement.

Le séquence fantasmée de la masturbation réciproque, entre cuir et vinyle, m'a emoustillé. Surtout lorsque vous léchez votre semence sur son pantalon.


T'es sûr que t'es pas bi, mon chéri?



:rolleyes:
 
Finalement, à l'usage, je révise mon jugement. Le côté brut, factuel, n'est pas sans évoquer un certain style, entre le reportage et le carnet de bord. Un style auquel on s'habitue; un peu comme la Suze... C'est pas franchement bon, mais après deux trois verres on en redemande...

Merci, merci...
Bon, alors, on va remettre une tournée de Suze...
;)


Bien sûr, dans "mon" monde, Karine aurait habité un château et vous l'auriez rencontrée alors que vous veniez, à l'invitation de son vicomte de mari, passer un coup de térébenthine sur les toiles de la galerie des ancètres; mais bon, ce n'est, une fois encore, que de moi et de mon indécrottable affection pour le XVIIIe. Le siècle, pas l'arrondissement.
Le séquence fantasmée de la masturbation réciproque, entre cuir et vinyle, m'a emoustillé. Surtout lorsque vous léchez votre semence sur son pantalon.

T'es sûr que t'es pas bi, mon chéri?


:rolleyes:

Oserai-je? Oui, allez, j'ose, mais lors, je ne le dis qu'à vous : l'option bi pourrait ne pas me laisser de marbre...
 
Merci, merci...
Bon, alors, on va remettre une tournée de Suze...
;)

Mais juste une, alors. Ensuite on passera à l'option single malt. Ou alors au Château Angélus, si j'ai le plaisir de vous retenir à dîner.


Oserai-je? Oui, allez, j'ose, mais lors, je ne le dis qu'à vous : l'option bi pourrait ne pas me laisser de marbre...

Osez, mon chéri, osez. Nous sommes entre nous. Et c'est si bon de penser que, de quelque sexe que l'on soit, seuls comptent la sensualité, le plaisir, la douceur du cuir ou de la soie... Le partage, en un mot.
 
Comme quoi mon subjonctif est imparfait !

Osez, mon chéri, osez. Nous sommes entre nous. Et c'est si bon de penser que, de quelque sexe que l'on soit, seuls comptent la sensualité, le plaisir, la douceur du cuir ou de la soie... Le partage, en un mot.

--> Fouchtra, Prof de mon coeur !
Serait-il donc possible que nous nous rencontriassions un jour tous deux, bottés, talonnés et encuirés et que nous dînassions de conserve euh pardon, de concert?

:cattail:
 
En partant de chez elle, je pris dès que je pus un chemin de traverse et me masturbai dans ma voiture avec cette merveille. Je découvris quelques jours plus tard que les repas plus légers pris lors de la période estivale me permettaient maintenant en rentrant le ventre et en retenant ma respiration de fermer complètement la jupe. Et puis, les essayages se succédant, la ceinture se distendit quelque peu et je constatai l'hiver venu que je pouvais désormais porter la jupe de Karine !
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Air Freight
 
Bon, ben si tout le monde n'est pas mort, p'têt' que j'vais fouiller pour voir à poster d'autres images...
 
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