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Finalement, à l'usage, je révise mon jugement. Le côté brut, factuel, n'est pas sans évoquer un certain style, entre le reportage et le carnet de bord. Un style auquel on s'habitue; un peu comme la Suze... C'est pas franchement bon, mais après deux trois verres on en redemande...
Bien sûr, dans "mon" monde, Karine aurait habité un château et vous l'auriez rencontrée alors que vous veniez, à l'invitation de son vicomte de mari, passer un coup de térébenthine sur les toiles de la galerie des ancètres; mais bon, ce n'est, une fois encore, que de moi et de mon indécrottable affection pour le XVIIIe. Le siècle, pas l'arrondissement.
Le séquence fantasmée de la masturbation réciproque, entre cuir et vinyle, m'a emoustillé. Surtout lorsque vous léchez votre semence sur son pantalon.
T'es sûr que t'es pas bi, mon chéri?
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Merci, merci...
Bon, alors, on va remettre une tournée de Suze...
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Oserai-je? Oui, allez, j'ose, mais lors, je ne le dis qu'à vous : l'option bi pourrait ne pas me laisser de marbre...
Osez, mon chéri, osez. Nous sommes entre nous. Et c'est si bon de penser que, de quelque sexe que l'on soit, seuls comptent la sensualité, le plaisir, la douceur du cuir ou de la soie... Le partage, en un mot.
Voici (pour commencer) deux images "soft" du cadeau d'adieu de Karine...