Marie-Claire

SamBotte

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Feb 8, 2010
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Souhaitez-vous que j'arrête de vous innonder de mes "histoires vécues" ou bien ces récits vous plaisent-ils?

Faites le moi savoir...
Merci.

Sam
 
J'ai connu Marie-Claire pour des motifs professionnels, lors d'un déplacement à Sophia-Antipolis. Un jour, elle est venue au bureau vêtue d'un superbe pantalon noir en agneau plongé et d'escarpins gris souris à talons hauts. Je lui ai demandé la taille (du pantalon) et elle m'a répondu que c'était un 38. Pile-poil ma taille! Vous connaissez le loup des dessins animés de Tex Avery? Et bien, j'étais à peu près dans le même état que lui quand il voit le petit chaperon rouge...

Quelques jours plus tard, je l'ai rebranché sur le fait qu'elle était presqu'aussi grande que moi et qu'on avait la même corpulence, la preuve, mes pantalons taillaient 38. "Et au niveau chaussures, je suis prêt à parier que tu fais du 39-40, non?" lui ai-je demandé. (Il faut dire que quand j'étais ado, j'ai bossé chez André - le 'chausseur sachant chausser'- et que j'y avais appris à évaluer la pointure du regard).
Elle me répond "Oui et toi?". Je lui dis "Pareil !" et elle me répond "Fais voir tes mocassins" ! J'ai poussé la porte du bureau et j'ai essayé ses escarpins, tandis qu'elle chaussait mes mocassins! Malheureusement pour moi, dans la mesure où ça se passait au bureau et en plein après-midi, je n'ai pas osé les garder aux pieds plus d'une minute.
Le Mercredi suivant, j'avais réussi à résoudre pour elle un problème (professionnel), et en réponse à ses félicitations, je lui ai dit que comme récompense, elle n'avait qu'à me prêter son cuir jusqu'au Vendredi (où je rentrais à Grenoble pour le week-end). Elle a accepté.
Pendant la semaine, je logeais dans une sorte de cité U - beaucoup moins cher qu'un hôtel-. Je suis rentré me changer et j'ai immédiatement enfilé son pantalon (sans mon slip, bien sur!). La ceinture avait une découpe en biais à 3 boutons et ne faisait pas très "viril". J'ai donc laissé mon polo par-dessus et je suis allé dîner comme ça. Je n'ai enlevé cette pertite merveille que pour dormir (et encore avec regrets!). Je l'ai mis pour aller prendre mon petit déj' le lendemain matin avant de remettre mon pantalon de ville pour aller bosser. Marie-Claire m'a demandé ce que je pensais de son cuir, je lui ai dit qu'il m'allait comme un gant et que je le trouvais génial à porter. Le soir, j'ai réédité le scénario de la veille, et je lui ai finalement ramené son pantalon le Vendredi.

Pendant les quatre mois où je travaillais avec elle, elle m'invita à manger un midi chez elle avec un autre collègue -qui était aussi un ami de sa famille et de son mari depuis plusieurs années-.
Je ne sais plus à quel propos, mais au moment du café, nous parlâmes de vêtements de cuir. Je lui (re)dis à quel point j'aimais son pantalon noir et lui demandais si elle avait d'autres vêtements en cuir. Elle me dit "Non, enfin, si, j'ai une jupe, mais elle est beaucoup trop courte. Je ne la mets jamais". Je lui demandais de nous la montrer, elle refusa. J'insistais "Alors, montre-la nous, même sans la passer". Didier, le collègue, était partant aussi, mais elle resta sur ses positions en prétextant que nous allions être en retard pour retourner au travail.


Après cette histoire, nous sommes restés en contact, bien que ne travaillant plus ensemble une fois ma mission terminée. C'est ainsi par exemple que je lui ai fait parvenir les bottes de femme que j'avais acheté mais que mon épouse ne voulait plus me voir porter et qu'elle m'avait demandé de jeter.
J'avais demandé à Marie-Claire si elle était intéressée, en précisant que c'étaient des bottes très fines, et qu'elles lui iraient certainement très bien. Un peu après les avoir reçues, elle m'a dit au téléphone qu'elle ne s'attendait pas à ça, qu'effectivement, elle les trouvait très belles. Nous n'avions parlé qu'à demi-mots du fait qu'il s'agissait de bottes de femme, bien que je lui aie dit les avoir portées! Quelque part, cela m'excitait de savoir qu'elle les mettrait régulièrement.

Bien des fois, j'ai fantasmé dans mon lit sur nos "retrouvailles" avec Marie. J'imaginais qu'un week-end, ma femme était en vacances sans moi et que j'allais d'un coup de moto jusque sur la Cote.
J'arrivais chez elle et lui demandais si je pouvais me changer dans sa chambre. Bien entendu, son mari et ses filles n'étaient pas là… Je fouillais dans sa commode pour y prendre un de ses slips satinés, puis je passais son pantalon après avoir essayé sa minijupe. Ensuite, je redescendais au salon en lui apportant la jupe et je lui demandais de la mettre. Un peu gênée, elle finissait par accepter et passait dans la salle de bains pour se changer. Pendant ce temps, j'enfilais "mes" bottes, je veux dire celles que je lui avais envoyées.
Quand elle revenait, je la trouvais tellement sexy que je la prenais par la taille et la serrais contre moi, lui faisant sentir la manifestation physique de mon désir. Après quelques tentatives de refus, elle finissait par craquer et me laissait l'embrasser. Peu de temps après, elle découvrait avec stupeur que je portais ses sous-vêtements. Je lui répondais qu'un pantalon aussi sensuel ne pouvait pas être porté sur un slip de coton, qu'il nécessitait des sous-vêtements… féminins. Sans lui laisser le temps de réfléchir plus longtemps, je lui enlevais sa jupe et la mettais immédiatement. Elle était nue, offerte, et je lui faisais l'amour avec les bottes, sa minijupe et son slip sur moi. Mais tout ceci n'était que fantasmes.

Lors de mon séjour à Sophia-Antipolis, ma femme avait été amenée à rencontrer Marie-Claire. Quelques années plus tard, nous sommes allé passer deux semaines de vacances du coté de St-Raphaël. Au début du séjour, nous l'avons appelé au téléphone et nous avons pris rendez-vous pour le Mercredi après-midi.

Son mari était au travail (elle même n'avait plus de job à cette époque), mais sa fille aînée âgée de dix ans était là. La plus petite passait la journée chez sa grand-mère.
Lorsque Marie nous accueillit, elle ne portait pas son fameux pantalon. Je ne sais pas si je dois dire 'hélas' ou 'heureusement'… En effet, je regrettais de ne pas voir son (très beau) cul moulé par le cuir souple, mais en même temps, je sais que si elle l'avait porté, j'aurais eu trop de mal à ne pas essayer de la caresser par tous les moyens, or nous n'étions pas seuls!
Elle nous offrit un café, puis nous proposa d'aller tous les quatre faire un tour "en ville". Sa proposition fut acceptée et nous nous préparâmes. Je la vis enfiler une paire de jolis boots noirs à bouts carrés qu'elle prit juste à coté de "mes" bottes. Elle les avait donc toujours! Cela me fit ressentir une drôle d'émotion…
Nous revînmes vers 17H pour le goûter de sa fille. Nous nous étions tous déchaussés à l'arrivée et nous avions posé nos chaussures devant un meuble bas dans le couloir, juste en face de la porte des WC.
Pendant que tout le monde grignotait des petits gâteaux, je me levai pour aller aux toilettes. Depuis un quart d'heure que nous étions rentrés, je voulais me masturber en portant les boots de ma belle blonde!
Personne ne pouvait me voir lorsque je les saisis rapidement avant de m'enfermer. Bien que la pièce ne soit pas très grande, je glissai avec émotion mes pieds dans la doublure de peau et remontai le zip qui les fermait. Comme je le savais d'avance, ils m'allaient parfaitement!
Cinq minutes plus tard, je les remis en place avant de revenir le plus naturellement du monde dans le salon. Une demi-heure plus tard, nous prenions congé.

J'ai l'habitude de poser ma main sur l'épaule de mes copines quand je leur fait la **** : cela me permet par exemple de sentir sous mes doigts le contact d'une veste de cuir.
Quand j'ai dit au revoir à Marie-Claire ce jour là, il s'est passé un truc assez extraordinaire, au sens étymologique du mot. Sans que je l'aie vraiment prémédité, ma main droite s'est retrouvée presque sous son aisselle, la paume appuyée sur son sein gauche. Nous nous sommes regardés dans les yeux, et sans rire, pendant quelques secondes, le temps m'a paru s'arrêter. Ca paraît débile dit comme ça, mais c'est la vérité. Je me fais peut-être des idées, mais j'ai eu le sentiment que ses yeux me disaient quelque chose du genre "Qu'est-ce que tu fais?" puis tout de suite après "Tu sais bien que c'est impossible, je le regrette, mais c'est comme ça! Oui, je regrette vraiment!!!".

Cela fait des années que je ne l'ai pas revu, mais, malgré tout, nous restons toujours en contact plus ou moins régulier.
"Marie-Claire en cuir" reste et restera toujours un de mes fantasmes favoris…
:rose:
 
Belle histoire, cher Sam, émouvante et sensuelle....

Je ne vais pas revenir sur ce que je vous ai déjà dit, le goûter de la petite et autres détails (sans parler de quelques fautes de français qui me sautent aux yeux... Mais que celui qui n'a jamais pêché me jette le premier Beschrelle).

Emouvante, disais-je, surtout dans sa conclusion... Combien de fois nous sommes nous retrouvés dans ces situations où, l'espace d'un instant les possibilités s'ouvrent, infinies, merveilleuses, pour se refermer immédiatement, sans appel. Tout serait possible, si...
Je ne sais s'il faut le regretter. Une amie chère à mon coeur à coutume de dire qu'il vaut mieux regretter ce que l'on a fait plutôt que ce que l'on n'a pas fait. Pour ma part, je préfère regretter ce que je n'ai pas fait, finalement. Sans doute mon côté rêveur...
 
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Belle histoire, cher Sam, émouvante et sensuelle....

Je ne vais pas revenir sur ce que je vous ai déjà dit, le goûter de la petite et autres détails (sans parler de quelques fautes de français qui me sautent aux yeux... Mais que celui qui n'a jamais pêché me jette le premier Beschrelle).

Emouvante, disais-je, surtout dans sa conclusion... Combien de fois nous sommes nous retrouvés dans ces situations où, l'espace d'un instant les possibilités s'ouvrent, infinies, merveilleuses, pour se refermer immédiatement, sans appel. Tout serait possible, si...
Je ne sais s'il faut le regretter. Une amie chère à mon coeur à coutume de dire qu'il vaut mieux regretter ce que l'on a fait plutôt que ce que l'on n'a pas fait. Pour ma part, je préfère finalement regretter ce que je n'ai pas fait, finalement. Sans doute mon côté rêveur...

Eh oui, qui peut rester de marbre devant ce sublime texte d'Antoine POL Les Passantes ?
 
Quel choix avisé... Les passantes est une de mes chansons préférées de Brassens.
Ma préférée avec J'me suis fait tout p'tit.... Rien que pour son final:

Tous les somnambules, tous les mages m'ont
dit sans malice qu'en ses bras en croix, je subirais mon
dernier supplice
il en est de pir's il en est d'meilleurs
mais à tout prendre
qu'on se pende ici, qu'on se pende ailleurs
s'il faut se pendre....
 
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