Je recherche des francophones, Québécois de préférence (je suis de Montréal), pour partager mes fantasmes pervers et tabous. Mi soixantaine, marié, deux enfants (dont une fille dans la trentaine, très jolie), j'aime imaginer, tout en me masturbant, que ma femme et ou ma fille se font abuser par un ou plusieurs hommes, retenues par les poignets et les chevilles ou attachées aux 4 coins du lit. J'aime aussi imaginer que je les drogue pour les offrir à d'autres hommes, jeunes ou vieux... Je suis ouvert à des échanges virtuels mais j'aimerais bien aussi rencontrer un autre homme pour une masturbation mutuelle. Voir son pénis tendu devant, entre autres, des photos/videos intimes de ma femme. Au plaisir d'en discuter avec vous... François
Fantasmes à partager en virtuel ou en réel!
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Dragonos
Virgin
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- Mar 4, 2016
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Suis de Québec et je rêve de savoir que ma femme se fait de nouveau baiser par un ou des inconnus.
Hâte d'en discuter. Je dépasse la soixantaine et ton fantasme est réciproque.
Hummm... excitant de lire qu'un homme de mon âge partage les mêmes fantasmes tabous et interdits! Écris-moi pour qu'on puisse en jaser davantage tout en échangeant photos et videos de ce qui nous excite. François - franlat69@juno.com
Hummm... excitant de lire qu'un homme de mon âge partage les mêmes fantasmes tabous et interdits! Écris-moi pour qu'on puisse en jaser davantage tout en échangeant photos et videos de ce qui nous excite. François - franlat69@juno.com
Qui aimerait échanger sur ce sujet? (Dragonos?)
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Salutations cher ami. A te lire j'en ai déjà mon érection je veux bien partager ces moments d'accès de fantasmes avec vs. A très bientôt
JosephCurwen
Virgin
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- Nov 11, 2020
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Bonjour,
très excitant tout ça !
je relis votre message, mes doigts mouillés de salive font glisser lentement la peau sur mon gland...
j'imagine les photos/vidéos de votre femme habillée en pute...
très excitant tout ça !
je relis votre message, mes doigts mouillés de salive font glisser lentement la peau sur mon gland...
j'imagine les photos/vidéos de votre femme habillée en pute...
harrycovert1
Virgin
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- Mar 15, 2021
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et des scénarios sur mon épouse Thérèse?victime de chantage forcée,humiliée nue en public,baisée à plusieurs sous les yeux du cocu qui laisse faire(soumis peut-être)viol collectif (pourquoi pas une bande de gamins ,c'est plus excitant)sans tabou!
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HBuff
History Buff
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- Apr 17, 2022
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Salut! Je suis de Québec.
J'adore fantasmer sur des scènes de viol où le mari ou le père est ligoté et obligé de regarder sa femme et ses filles se faire violer par plusieurs hommes, habituellement des soldats.
J'ai écrit pas mal d'histoires, en anglais, sur d'autres sites, notamment trois histoires inspirées des événements qui ont secoué le Congo au lendemain de sa déclaration d'indépendance en 1960. Ces histoires de viol interracial se déroulent dans le cadre des mutineries de la Force publique. En bref, les soldats congolais se mutinent, passent à tabac leurs officiers blancs, les jettent au cachot, puis entrent dans leurs maisons et violent leurs femmes et leurs filles.
Je peux facilement imaginer une scène où un colonel de 60 ans se fait humilier par les hommes de son propre régiment, puis est obligé de voir sa femme se faire défoncer par de grosses bites congolaises, avec sa fille, juste à côté, en train de se faire passer dessus par une bonne douzaine de mutins. Certains soldats violent la fille brutalement, d'autres la caressent partout en lui disant à quel point ils l'avaient désirée pendant si longtemps, puis la forcent à les prendre dans sa bouche pour lui donner une bonne douche de sperme africain.
J'adore fantasmer sur des scènes de viol où le mari ou le père est ligoté et obligé de regarder sa femme et ses filles se faire violer par plusieurs hommes, habituellement des soldats.
J'ai écrit pas mal d'histoires, en anglais, sur d'autres sites, notamment trois histoires inspirées des événements qui ont secoué le Congo au lendemain de sa déclaration d'indépendance en 1960. Ces histoires de viol interracial se déroulent dans le cadre des mutineries de la Force publique. En bref, les soldats congolais se mutinent, passent à tabac leurs officiers blancs, les jettent au cachot, puis entrent dans leurs maisons et violent leurs femmes et leurs filles.
Je peux facilement imaginer une scène où un colonel de 60 ans se fait humilier par les hommes de son propre régiment, puis est obligé de voir sa femme se faire défoncer par de grosses bites congolaises, avec sa fille, juste à côté, en train de se faire passer dessus par une bonne douzaine de mutins. Certains soldats violent la fille brutalement, d'autres la caressent partout en lui disant à quel point ils l'avaient désirée pendant si longtemps, puis la forcent à les prendre dans sa bouche pour lui donner une bonne douche de sperme africain.
Bonjour... Je suis de France mais je partage vos goûts... J'aime écrire et lire... Si cela vous tente, vous pouvez me contacter par mon email : hcomplice76@yahoo.fr
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Bonjour... Je suis de France mais je partage vos goûts... J'aime écrire et lire... Si cela vous tente, vous pouvez me contacter par mon email : hcomplice76@yahoo.fr
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HBuff
History Buff
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- Apr 17, 2022
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J'aime beaucoup les scènes de viol en bordure de la route. Dans mes histoires, cela arrive souvent en contexte de guerre civile ou de révolte armée. Ce sont souvent des Noirs d'un pays africain qui s'en prennent à des Blancs.
La seule histoire que j'ai publiée ici sur Literotica en français, se déroule au Congo en juillet 1960. Les soldats congolais se mutinent et jettent leurs officiers blancs au cachot, puis ils s'en vont violer leurs femmes.
Il y a des viols qui surviennent sur la route, quand de nombreuses familles apprennent ce qui se passe sur la base militaire et prennent la fuite. Mais des solats mutinés installent des barrages routiers, et là, des voitures belges sont arrêtées en pleine nuit, et inspectées.
Quand on trouve de jolies Blanches, on les extrait de la Peugeot ou de la Citroën, et c'est l'hallali! La jeune épouse est déshabillée* et violée par un groupe de soldats pendant qu'on tient le cocu en joue.
*J'adore et savoure les déshabillages forcés. Je me donne beaucoup de peine pour décrire le moment où le chemisier est déchiré et son soutien-gorge pulvérisé, et là, les érections congolaises durcissent quand leurs yeux boivent le déploiement lacté des seins tout blancs de la fille belge, qui se débat et crie comme une folle au milieu des nègres déchaînés (j'emploie le langage souvent raciste qui avait cours en 1960).
Il y a plein de situations toutes plus excitantes les unes que les autres. Comme chaque fois que j'écris une histoire, il y a des scènes auxquelles je songe, mais qui restent "coupées" dans mon esprit et ne se trouvent pas dans l'histoire publiée.
J'avais songé à un vieux général à la retraite qui reçoit sa nièce de 22 ans en visite, chez lui et sa femme. Quand ils apprennent la mutinerie, le vieux général sait que des soldats vont venir battre la campagne à bord de jeeps et de camions, à la recherche de filles blanches.
Ils se sauvent et prennent la route, peu sûre, mais le général est tellement convaincu qu'il ne faut pas rester à la maison que la route lui semble préférable. Pas de bol! Ils tombent sur un barrage de mutins.
Le général et son épouse ont l'horreur de voir la belle nièce blonde, qui ressemble un peu à la princesse Grace de Monaco (l'actrice Grace Kelly) se faire extraire de la Peugeot par les nègres en liesse, qui se battent presque pour le privilège de la fourrer en premier.
La nièce est déshabillée, violée, reviolée, et violée encore, cette fois dans le cul, puis trois ou quatre nègres l'obligent à sucer leurs bites bien juteuses, sous peine de voir son oncle et sa tante se faire froidement exécuter. La jeune fille suce et prend leurs grosses verges bien foncées dans sa bouche de Bruxelloise. Elle tient et caresse un gros pénis congolais de sa main blanche, étrangement fascinée par cette chaude raideur tropicale, qui bientôt palpite dans sa main et lui emplit la bouche d'une semence au goût très âcre parfumé de sel africain. Le soldat, au visage noir comme la nuit, lui presse la tête et la figure contre son pubis pendant qu'il jouit en poussant un long râle victorieux.
C'est ensuite un caporal solidement barraqué qui vient prendre du bon temps dans la bouche de Mademoiselle; quand il est cuit à point, il sort vite de sa bouche et crie son extase en râlant pendant qu'il lui envoie quatre gros traits de semence, chauds et épais, qui atterissent en puissant jets sur sa poitrine nue. Le sperme est bien visible et luisant à la lueur des phares.
Le vieux général, à qui on a baissé son pantalon, est bandé comme un taureau, sous les yeux choqués et horrifiés de son épouse, qu'on a épargnée. L'adjudant qui commande trouve très drôle d'obliger le vieux général à violer sa nièce. Et ils continuent de s'amuser avec elle encore trois ou quatre heures, avant de les laisser partir au petit matin. Ils arrivent enfin à Léopoldville, hébétés, en état de choc. La nièce se sent surtout coupable d'avoir joui comme une folle pendant que son vieil oncle la montait comme un étalon; elle se rend compte qu'elle a envie qu'il la prenne de nouveau. Les viols l'ont rendue accro au sexe.
****************************
Bon, je vais peut-être inclure ça dans un futur chapitre. Un peu plus tard, il y a une unité de paras belges qui vient s'installer juste en face de la base afin de protéger la campagne et de forcer des négociations, mais je peux mettre un groupe de mercenaires douteux, qui décident d'aller eux aussi battre la campagne, ou se peut être une compagnie de soldats particulièrement indisciplinés, qui décident de profiter de la situation et se mettent à violer des filles congolaises "pour se venger". D'autres soudards blancs, bien que Belges eux-mêmes, trouvent des familles belges et décident de ne pas faire de discrimination et violent les Blanches aussi.
L'histoire est en plein développement. Le plus dur, c'est qu'on ne peut jamais tout écrire! Et c'est pas grave, de ne pas tout écrire. L'important, c'est que les scènes soient intenses et donnent à fantasmer.
La seule histoire que j'ai publiée ici sur Literotica en français, se déroule au Congo en juillet 1960. Les soldats congolais se mutinent et jettent leurs officiers blancs au cachot, puis ils s'en vont violer leurs femmes.
Il y a des viols qui surviennent sur la route, quand de nombreuses familles apprennent ce qui se passe sur la base militaire et prennent la fuite. Mais des solats mutinés installent des barrages routiers, et là, des voitures belges sont arrêtées en pleine nuit, et inspectées.
Quand on trouve de jolies Blanches, on les extrait de la Peugeot ou de la Citroën, et c'est l'hallali! La jeune épouse est déshabillée* et violée par un groupe de soldats pendant qu'on tient le cocu en joue.
*J'adore et savoure les déshabillages forcés. Je me donne beaucoup de peine pour décrire le moment où le chemisier est déchiré et son soutien-gorge pulvérisé, et là, les érections congolaises durcissent quand leurs yeux boivent le déploiement lacté des seins tout blancs de la fille belge, qui se débat et crie comme une folle au milieu des nègres déchaînés (j'emploie le langage souvent raciste qui avait cours en 1960).
Il y a plein de situations toutes plus excitantes les unes que les autres. Comme chaque fois que j'écris une histoire, il y a des scènes auxquelles je songe, mais qui restent "coupées" dans mon esprit et ne se trouvent pas dans l'histoire publiée.
J'avais songé à un vieux général à la retraite qui reçoit sa nièce de 22 ans en visite, chez lui et sa femme. Quand ils apprennent la mutinerie, le vieux général sait que des soldats vont venir battre la campagne à bord de jeeps et de camions, à la recherche de filles blanches.
Ils se sauvent et prennent la route, peu sûre, mais le général est tellement convaincu qu'il ne faut pas rester à la maison que la route lui semble préférable. Pas de bol! Ils tombent sur un barrage de mutins.
Le général et son épouse ont l'horreur de voir la belle nièce blonde, qui ressemble un peu à la princesse Grace de Monaco (l'actrice Grace Kelly) se faire extraire de la Peugeot par les nègres en liesse, qui se battent presque pour le privilège de la fourrer en premier.
La nièce est déshabillée, violée, reviolée, et violée encore, cette fois dans le cul, puis trois ou quatre nègres l'obligent à sucer leurs bites bien juteuses, sous peine de voir son oncle et sa tante se faire froidement exécuter. La jeune fille suce et prend leurs grosses verges bien foncées dans sa bouche de Bruxelloise. Elle tient et caresse un gros pénis congolais de sa main blanche, étrangement fascinée par cette chaude raideur tropicale, qui bientôt palpite dans sa main et lui emplit la bouche d'une semence au goût très âcre parfumé de sel africain. Le soldat, au visage noir comme la nuit, lui presse la tête et la figure contre son pubis pendant qu'il jouit en poussant un long râle victorieux.
C'est ensuite un caporal solidement barraqué qui vient prendre du bon temps dans la bouche de Mademoiselle; quand il est cuit à point, il sort vite de sa bouche et crie son extase en râlant pendant qu'il lui envoie quatre gros traits de semence, chauds et épais, qui atterissent en puissant jets sur sa poitrine nue. Le sperme est bien visible et luisant à la lueur des phares.
Le vieux général, à qui on a baissé son pantalon, est bandé comme un taureau, sous les yeux choqués et horrifiés de son épouse, qu'on a épargnée. L'adjudant qui commande trouve très drôle d'obliger le vieux général à violer sa nièce. Et ils continuent de s'amuser avec elle encore trois ou quatre heures, avant de les laisser partir au petit matin. Ils arrivent enfin à Léopoldville, hébétés, en état de choc. La nièce se sent surtout coupable d'avoir joui comme une folle pendant que son vieil oncle la montait comme un étalon; elle se rend compte qu'elle a envie qu'il la prenne de nouveau. Les viols l'ont rendue accro au sexe.
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Bon, je vais peut-être inclure ça dans un futur chapitre. Un peu plus tard, il y a une unité de paras belges qui vient s'installer juste en face de la base afin de protéger la campagne et de forcer des négociations, mais je peux mettre un groupe de mercenaires douteux, qui décident d'aller eux aussi battre la campagne, ou se peut être une compagnie de soldats particulièrement indisciplinés, qui décident de profiter de la situation et se mettent à violer des filles congolaises "pour se venger". D'autres soudards blancs, bien que Belges eux-mêmes, trouvent des familles belges et décident de ne pas faire de discrimination et violent les Blanches aussi.
L'histoire est en plein développement. Le plus dur, c'est qu'on ne peut jamais tout écrire! Et c'est pas grave, de ne pas tout écrire. L'important, c'est que les scènes soient intenses et donnent à fantasmer.
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