Un peu de lecture

SamBotte

Really Experienced
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Feb 8, 2010
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Voici donc comme promis la retranscription absolument authentique, je le réaffirme bien haut, de ce que j'ai partagé pendant 2 ans avec une certaine Françoise...
 
Françoise

J'ai vécu entre la fin de l'année 2005 et la fin 2007 un truc dont je n'ai absolument pas l'habitude, à savoir une "liaison" avec une collègue de travail.
Elle est un peu plus âgée que moi, elle porte de temps en temps une paire de superbes bottes taille 38 et je lui avais déjà demandé plusieurs fois qu'elle me les prête, sans qu'elle ne m'ait jamais dit vraiment non. On avait très souvent des dialogues très ambigus, à double sens, mais à la veille des vacances de Noël 2005, c'est devenu très clair : nous avons commencé à nous embrasser sur la bouche pour nous dire bonjour, pas la galoche du siècle, certes, mais deux bises sur les lèvres (pour que ses collègues entendent bien "smick", puis "smack" !!!).
Un jeudi matin, je lui ai carrément demandé si elle accepeterait de me prêter ses gants (en cuir) afin que "j'ai un avant-goût de ce que donneraient ses mains sur ma peau" (c'est texto ce que je lui ai dit) et elle m'a répondu "Bien sûr que je te les prête" !

Le week-end suivant, je devais monter comme tous les ans à cette époque à Lans en Vercors pour le Trophée Andros; j'avais inventé pour mon épouse une réunion de préparation pour cette course automobile sur glace, ce qui m'a permis d'aller passer 2 heures chez Françoise (c'est son nom) au tout début Janvier...
Je savais que nous ferions l'amour, et j'espérais bien pouvoir le faire en portant ses bottes et sa lingerie. A ce propos, c'est le genre de femme à se mettre en porte-jarretelles sous son pantalon, je l'avais vérifié en caressant sa cuisse le matin de ce fameux jour où elle m'avait prêté ses gants !
Bref, j'espérais pouvoir vivre avec elle mon fantasme de faire l'amour travesti, et disons-le tout de suite, je n'ai pas été déçu !!!

Je suis arrivé à son domicile vers 18H00. Elle est allée chercher la bouteille de champ' qu'elle avait acheté pendant les vacances de Noël. Elle m'avait dit le jour où nous avions repris le travail (après la fermeture de la fac pour les vacances de Noël) qu'elle avait mis une bouteille au frais "pour fêter la nouvelle année". Et elle avait ajouté malicieusement "juste boire un coup, en tout bien tout honneur... et plus si affinité" !
Quand je suis entré chez elle, nous nous sommes embrassés sur la bouche. On a bu une première coupe en écoutant de la musique et en parlant de choses et d'autres; de temps en temps, je frôlais ses bottes (j'adorais ça !!!) ou bien son bas juste au dessus du genou... Je me souviens qu'à un moment, nous parlions du fait que j'étais mal à l'aise d'avoir menti à ma femme pour pouvoir venir chez elle. Elle m'a alors redit que nous étions là "juste boire un coup, en tout bien tout honneur" et que ce n'était pas de ce fait un "gros mensonge". Là, je lui ai dit qu'en fait, moi, j'aimerais bien le "plus si affinités". Nous étions assis cote à cote dans le canapé et elle m'a alors embrassé à nouveau sur la bouche, mais là, ce n'était plus un petit baiser, c'était une vraie galoche. Elle a enlevé son haut et s'est collée contre moi pendant que nous nous roulions pelle sur pelle ! Elle a passé sa main dans mon dos, a essayé de la faire descendre plus bas sur mes reins et m'a dit "Ah là là ! Je suis coincée par le jean". Je lui ai dit "Alors, il faut l'enlever?" et elle m'a répondu "Oui, c'est effectivement la seule solution". Je me suis mis à poil pendant qu'elle faisait tomber sa jupe; elle s'est rassise dans le canapé pendant que je finissais de me déshabiller; elle s'est redressée un instant et je l'ai alors aidé à enlever son soutif. Elle ne portait plus que ses Dim-Up et ses magnifiques bottes en cuir noir... Elle s'apprêtait à en baisser la fermeture éclair, mais sans que je n'ai rien eu le temps de dire, elle m'a dit "Ah non, tu préfères peut-être que je les garde..." et j'ai répondu "Oui" dans un souffle. Nous nous sommes caressés ainsi 2/3 minutes et elle m'a dit "Tu veux qu'on passe dans la chambre?" et nous y sommes allés main dans la main.
Elle a fait voler sa petite culotte (noire comme son soutif), s'est allongée en travers du lit, jambes écartées et m'a attiré vers elle. Tandis que ma langue fouillait à nouveau sa bouche, j'ai senti sa main saisir mon sexe et le positionner en face du sien. Son autre main a alors pesé sur mes reins et je me suis enfoncé en elle sans autre préliminaire !
J'ai caressé sa botte gauche pendant que je la pistonnais doucement, un peu après je l'ai senti enrouler ses jambes autour de mes reins, c'était trop bon... A un moment, elle a profité d'avoir ainsi relevé ses jambes pour enlever ses bottes. J'en ai récupéré une au vol (ou presque), j'ai embrassé la doublure en peau et me suis remis à la limer en caressant de ma main droite la doublure en cuir blanc de sa botte. Elle a souri, j'ai continué à bouger en elle, puis j'ai reposé la botte; elle m'a demandé de la pistonner plus fort, elle m'encourageait, et trop vite à mon goût, j'ai joui en elle...
J'ai alors essayé de prolonger l'intromission le plus possible, mais finalement, Popaul est sorti tout seul de son nid d'amour. J'ai malgré tout continué à la caresser, je lui ai fait un cunnilingus; de son coté, elle a su user de ses mains pour faire renaître une érection. Elle s'est retournée et s'est mise à 4 pattes devant moi. Je me suis approché d'elle et en tendant le bras en arrière, elle a saisi ma verge et je l'ai alors à nouveau pénétré, en levrette.
Ensuite, elle m'a fait asseoir au bord du lit, s'est placée entre mes jambes écartées et a commencé à me sucer. Et là, ça a été un nouveau sommet; je venais de refaire l'amour avec une femme, je redécouvrais ce plaisir oublié, mais en plus, j'ai réalisé une partie de mon fantasme : j'ai saisi la botte que j'avais caressée quelques minutes plus tôt et que j'avais reposée sur le lit, puis j'ai étiré mon bras au maximum pour récupérer la deuxième par terre. Je me souviens alors très bien que j'ai levé d'abord ma jambe gauche et que j'ai glissé mon pied dans la botte. Pendant qu'elle continuait à me sucer, j'ai remonté le zip, puis j'ai répété la même opération avec ma jambe droite.
Plus tard, elle s'est levée pour me proposer une nouvelle coupe de champ'. Je me suis levé derrière elle, j'ai ramassé sa culotte et l'ai enfilée, et sans faire un seul faux pas, je l'ai rejointe dans le salon. Il faut dire que ses bottes ne font "que" 6 cm de talons (à vue d'oeil) et j'ai l'habitude de marcher, voire courir sur 8 cm, alors...

Je ne me souviens plus de manière très précise de ce qu'elle a répondu quand je lui ai fait remarquer ma tenue, mais ce qui est sûr, c'est que ça ne la choquait pas plus que ça...
Je sais que je me suis assis dans le canapé, vêtu uniquement de sa petite culotte et de ses bottes. Pendant que je portais mon verre à mes lèvres, elle m'a caressé la verge et les couilles à travers le polyamide presque transparent orné de broderies en velours.
Elle a beaucoup aimé le moment où (après avoir reposé mon verre) j'ai enfoncé mon doigt en elle pendant que ma langue agaçait son clitoris. Avec son humour à elle, elle m'a dit "Oooh... Si tu me prends par les sentiments !"...
Un peu plus tard, j'ai du lui dire un truc du genre "Il ne manque plus que tes gants". Elle m'a dit "Ah ben justement, ils sont où?". Je lui ai répondu que je les avais posés sur la table en arrivant et je me suis levé pour aller les chercher. Je les lui ai donnés et elle les a enfilés. Elle m'a un peu caressé en les portant, puis elle a dit "Je trouve qu'on sent moins bien comme ça". Alors, elle les a enlevés et pendant qu'elle me caressait "à mains nues", c'est moi qui les ai mis.
Très vite, je me suis retrouvé accroupi au dessus d'elle, genoux écartés et les bras en appui sur l'accoudoir du canapé tandis qu'elle me suçait à nouveau : elle m'a fait jouir comme je ne l'avais pas fait depuis bien longtemps ! Sa main s'était glissée dans ma petite culotte, enfin la sienne, et sans vraiment me pénétrer, ses doigts tournaient autour de mon anus. Elle a dégagé sa bouche et m'a branlé à la main en me parlant pour m'encourager et m'exciter. Et moi, je pensais à ce que j'étais en train de vivre, je murmurais "oh oui, oh oui… je porte tes bottes, ta culotte, tes gants"...
Quand j'ai joui, elle a aussitôt enfourné ma verge dans sa bouche et a tout avalé...
Je me suis écroulé sur le dos et je l'ai remercié.
Un petit peu après, elle a baissé le zip qui fermait les bottes et me les a enlevées en disant "Tu vas me les avoir agrandies". Nous avons mangé (sur le pouce) dans sa cuisine et avant que je me rhabille, elle a repris ma queue dans sa bouche pour le faire regonfler, mais, hélas pour nous, il fallait vraiment que j'y aille, alors je suis rentré chez moi.

Le lendemain matin, elle portait à nouveau ces bottes là (elle en a une 2ème paire, mais sans talons) et je lui ai demandé "Et alors, elles ne sont pas agrandies, hein?" et elle m'a dit "Non, non...". Le soir, elle m'a redonné ses gants que j'avais laissés chez elle en la quittant.

En ce qui concerne les "particularismes de ma libido" (pour employer des grands mots), elle m'a dit qu'elle m'avait percé à jour et que ça ne la dérangeait pas, le seul frein (mais très léger), c'est qu'elle m'a dit "de toutes façons, je pense que si tu recommences à avoir une vie sexuelle, dans quelques temps, tu n'auras plus besoin de mes bottes"...
Tout ça est bien loin de la position de mon épouse à ce sujet !!!


Je suis retourné la voir le Jeudi suivant, en prétextant pour ma femme deux trois bricoles à faire en sortant du boulot (alors que je les avais faites le midi). Mais on savait (Françoise et moi) que je n'avais malgré tout qu'une heure à lui consacrer... Elle ne portait pas ses bottes et ce soir là, je n'ai pas mis ses vêtements.

Depuis, régulièrement, nous avons quitté la fac le midi pour "déjeuner ensemble –et plus si affinités-". Un de ces midis, l'ouvrier qui lui avait changé ses fenêtres la semaine précédente était revenu pour finir les joints. Elle a réussi à le mettre dehors et à ce qu'il s'en aille sans rien ranger, elle lui a à peine laissé le temps de nettoyer le chantier et elle s'est précipitée pour me rejoindre dans la chambre. On a fait l'amour une première fois et elle m'a proposé de "manger un morceau avant de remettre le couvert" ! Elle s'est levé avant moi pour aller me chercher un peignoir en éponge (j'aurais préféré de loin qu'elle me prête une de ses nuisettes, mais à l'époque, je n'avais pas encore osé lui demander). Pendant ce temps, j'ai enfilé ses bottes. On a mangé comme ça, puis on a refait l'amour. J'avais gardé les bottes et je me voyais dans les grandes portes miroirs de sa penderie, waôw… J'étais dans un état... proche du Nebraska, comme on dit !!!


La toute première fois que nous avons fait l'amour, c'est venu (de mon coté) un peu trop vite, mais quand je lui en ai parlé, elle m'a répondu que, entre le fait qu'on ne se connaissait pas encore physiquement et mes années d'abstinence, ça lui paraissait tout à fait normal. Une autre fois, après que nous ayons fait l'amour ensemble, elle a voulu me faire une pipe et malgré tous ses efforts, je n'ai pas joui. Ca m'a mis mal à l'aise vis à vis d'elle, mais elle m'a dit que ce n'était rien. C'est bizarre, par moment, j'ai l'impression qu'elle fait tout pour me faire monter au ciel, quitte à se faire passer, elle, au second plan.
Ce qui me fait drôle, c'est qu'elle suce si facilement ! C'est sûr que j'ai une expérience... on va dire limitée, car j'ai connu peu de filles avant ma femme (et une seule pendant à part Françoise), mais aucune ne faisait ça. Françoise, si. Je ne sais pas si elle le fait "pour faire plaisir aux hommes" ou parce qu'elle aime réellement, en tous cas, Popaul atterrit très souvent dans sa bouche !
C'est manifestement ce qu'on appelle une "femme libérée", elle dit elle-même qu'elle a pas mal bourlingué et qu'elle connaît les hommes, et elle semble être suffisamment large d'esprit pour accepter mes fantasmes. En tous cas, vu comment ça se passe entre nous, j'aurais tort de ne pas en profiter, n'est-ce pas?

Bref, au fil du temps, je lui ai révélé tous mes secrets et mes fantasmes.
Un jour, peu après mon arrivée chez elle, je lui ai carrément sorti mes Free Lance à stilettos de 12cm ainsi que ma minijupe en cuir. Au départ, je le faisais "juste pour les lui montrer".
J'ai d'abord sorti les bottes rouges, et elle m'a dit "T'as acheté ça pour qui? Pour toi?" et je lui ai dit "Oui !". Elle a tout de suite fait tomber son jean pour les essayer, et elle qui a pourtant l'habitude de marcher sur 6 à 8 cm tous les jours m'a dit "Mais tu peux pas marcher avec ça, si???" et je lui ai répondu "Si, si, je te jure que je l'ai fait l'autre jour pendant 20 minutes en promenant mes chiens". Elle les a gardées aux pieds, nous sommes passés dans sa chambre, et je lui ai tendu ma mini en cuir. Elle l'a enfilée en s'appuyant sur moi pour ne pas perdre l'équilibre, mais c'est un 38, et elle m'a dit "Merde, elle est un peu juste, je peux pas la fermer complètement !". Je me suis collé contre elle, j'ai caressé ses fesses moulées par le cuir. Bien qu'au départ, je sois plus grand qu'elle, moi pieds nus et elle sur 11,5 cm de stiletto, elle me dominait largement.
Cette histoire de taille de la mini la travaillait, elle m'a dit "C'est vrai que ça fait plusieurs années maintenant que je ne rentre plus dans un 38, il me faut du 40. Dis, tu ne rentres pas dedans toi non plus, hein?". Je lui ai dit que si. Elle m'a répondu "Ah le salaud, il est plus mince que moi !" en riant et en l'enlevant. Elle me l'a tendue et je l'ai donc passée à mon tour. Quand elle a vu que, contrairement à elle, je pouvais effectivement remonter la fermeture jusqu'en haut, qu'il suffisait que je rentre le ventre pour le dernier centimètre, elle a passé sa main sous le cuir pour me caresser les testicules, puis elle m'a dit "Tiens, mets tes bottes".
Je ne sais plus exactement comment ça a commencé, mais à un moment, elle m'avait demandé si ça me plairait de mettre un slip en cuir et elle m'a dit qu'elle avait eu à un moment un soutien-gorge en vinyle, qu'elle devait même toujours l'avoir quelque part. Pendant que j'enfilais mes bottes, elle a fouillé dans les tiroirs de sa commode pour le chercher. Elle l'a retrouvé, l'a mis en l'associant à un porte-jarretelles et des "vrais" bas à la place de ses Dim-Up tandis que j'enfilais la petite culotte qu'elle venait d'enlever ainsi qu'un porte-jarretelles noir et rouge (mais je n'avais pas mis de bas).
Je me suis relevé et elle s'est serrée contre moi en se dressant sur la pointe des pieds pour m'embrasser sur la bouche tout en me pelotant les fesses à travers le cuir, puis elle m'a doucement poussé sur le lit et nous avons fait l'amour ainsi. Elle ne portait que son soutif en vinyle noir, une paire de bas et son porte-jarretelles, et moi je portais mes bottes super sexy et ma mini en cuir par dessus son slip et son porte-jarretelles !!! Le kif, le nirvana, le pied…
C'est dingue ce que je vis avec elle ! Je me lâche complet.
Je sais que ça ne la choque pas, que ça ne la dérange pas du tout que je mette ses vêtements (y compris sa lingerie) et ses bottes, mais je sais aussi qu'elle préfère, selon ses propres mots, quand je "redeviens homme" parce qu'elle "adore sentir ma peau contre la sienne". C'est pourquoi, en général, à chaque fois qu'on se voit (c'est très souvent juste pour une heure et demi ou deux heures maxi), on "le" fait "une fois avec" et "une fois sans". Une fois, je vis mes fantasmes, une fois je suis plus "nature" pour lui faire plaisir autant qu'elle, elle me fait plaisir...

Un midi où nous étions allés chez elle, on a fait l'amour tout de suite en arrivant (comme d'hab'), puis elle m'a dit "Allez, on va se faire une petite salade vite fait histoire de récupérer des forces". On s'est levés et quand elle a vu que j'ouvrais sa penderie, elle m'a dit "Tu sais où sont rangés mes vêtements, hein? Tu cherches mon pantalon en cuir?". Je lui ai répondu que "Oui, je savais", et que "je trouvais ce que je cherchais".
J'ai alors enfilé le slip rouge et noir qu'elle avait ôté une demie heure plus tôt pour que nous fassions l'amour, j'ai mis son pantalon de cuir et ses bottes, et ce jour là, j'ai trouvé la nuisette courte en satin blanc que je voulais tant essayer et je l'ai portée comme un chemisier, en rentrant le bas dans le pantalon.
On a mangé, en parlant entre autre à un moment que tous les hommes avec qui elle avait eu une relation qui avait un tant soit peu duré avaient le même "profil" que moi, avec notamment "une part de féminité développée". Je lui ai alors demandé si elle en avait déjà connu qui voulait se travestir pour faire l'amour avec elle, elle m'a dit que non, mais qu'en tous cas, cela ne la dérangeait pas du tout que je mette ses bottes et ses vêtements et que je pouvais en profiter autant que je voulais.
Quand je lui ai parlé de mon désir de travestissement, je lui ai dit que "même si je crois que j'aimerais bien me faire goder, je ne voudrais pas que ça soit par la queue d'un mec, mais uniquement par la femme avec qui je ferais l'amour".
Un peu après, elle m'a dit qu'elle pensait que ma femme acceptait mes fantasmes. Je lui ai dit que "ah non, pas du tout, mais alors vraiment pas du tout, elle trouve que c'est carrément de la perversion", elle a haussé les épaules en disant "Perversion, ah non. C'est ridicule, ça !". Puis elle m'a demandé "Mais alors, tu la mets où, ta garde-robe, comme tu dis?".
Je lui ai répondu que je la rangeais au garage, dans mon sac à dos de moto, parce qu'elle n'y mettait jamais les pieds... ou presque ! Et là, elle m'a dit "Bin dis donc, tu joues avec le feu, toi !!!".
Après le repas, on est repassé dans sa chambre, elle m'a poussé sur le lit et m'a enlevé les bottes et le pantalon; quand elle a vu que je portais sa culotte et que j'avais sorti ma bite par l'échancrure, elle a commencé à me sucer, puis elle a tiré sur le slip pour me l'enlever. Mais comme j'étais couché sur le dos, il a fallu que je soulève un peu mes fesses pour qu'elle puisse l'enlever. Et à ce moment là, elle m'a dit un truc du genre "T'as pas intérêt à me la craquer, car il faut que je la remette pour aller bosser". J'ai toujours adoré ce genre de moments et de réflexions…
J'avais gardé sa nuisette, elle l'a un peu remonté pour sentir directement ma peau sous ses doigts et m'a fait une pipe pendant que je caressais mes seins à travers le satin de sa nuisette. Petit à petit, elle m'a sodomisé avec son doigt pendant que son autre main caressait la peau de mes hanches et de mon ventre. Alors, sans cesser les mouvements de ses mains, elle m'a dit "Allez, vas-y, branle-toi, donne-moi à boire, vas-y, coule dans ma bouche". Elle parlait tout en ayant les lèvres collées sur mon gland, je me suis masturbé comme elle me le demandait et j'ai joui dans sa bouche. Elle a tout avalé, puis elle est venue coller sa bouche contre la mienne et nous nous sommes roulés un gros patin.
Ce jour-là, quand on est retourné à la fac pour bosser, il était 15 heures...

Une autre fois, j'ai commencé par lui faire un cunnilingus en portant la culotte noire qu'elle venait d'ôter, mais elle me l'a enlevée un peu après que je l'aie pénétrée. Pendant la "pause déjeuner", j'ai mis son pantalon de cuir (à même la peau) et l'une de ses nuisettes courtes en guise de top (j'adoooooore !). Juste après le dessert, nous nous sommes à nouveau précipités dans sa chambre; elle a sorti ma queue du pantalon, a commencé à me sucer, puis je me suis allongé sur elle, et je lui ai fait l'amour en le gardant sur moi. Quel pied j'ai pris en sentant ses pieds frotter mes mollets gainés de cuir parce qu'elle accrochait ses jambes autour de moi !!!
Je ne connais rien d'aussi excitant que la caresse du cuir sur la peau, à part le satin et la fourrure !!!


Je me souviendrai plus que longtemps de cette première fois où nous avons fait l'amour debout, dans son salon. Elle avait pris appui de ses bras sur le dossier du canapé et je me suis collé dans son dos. Elle a passé sa main entre mes jambes par en dessous pour prendre mon phallus en main et le faire pointer sur sa chatte, puis elle s'est empalée directement sur moi. Je l'ai saisie par les hanches et je l'ai besogné lentement, en faisant durer le plaisir... Je n'arrêtais pas de penser que je faisais ça en portant ses bas et ses bottes. Et d'ailleurs, j'ai eu la confirmation une fois suivante où nous avons refait l'amour comme ça (mais sans que je porte ses bottes) que c'est mieux "avec". En effet, "pour mieux la sentir, plus au fond", elle se mettait presque toujours sur la pointe des pieds, et du coup, le fait que je sois en bottes me permettait d'être "beaucoup plus stable" sur mes jambes quand je poussais afin de m'enfoncer en elle jusqu'à la garde...
Je me souviens qu'à chaque fois que je plaquais mes cuisses contre ses jambes, j'en sentais le frottement contre mes bas. Et puis il y avait les moments où, à l'inverse, je reculais et me retirais presque complètement de son vagin. En penchant la tête en avant, je voyais ma queue qui plongeait entre ses jambes, et je ne manquais pas de voir aussi le bout pointu de mes bottes, enfin des siennes...
C'est vrai que c'est trop bon, l'amour en talons...


A l'automne 2006, mon épouse s'est absentée de chez nous pendant 3 semaines. J'en ai profité pour aller passer presque toutes mes soirées avec Fran. Je rentrais du boulot, m'occupais de mes chiens, puis j'appelais ma femme au téléphone avant de me donner quartier libre et d'aller retrouver ma maîtresse. Un de ces soirs-là, je suis arrivé chez elle vers 20 heures, j'avais mis aux pieds mes bottes Adige sous mon jean et un maxi manteau en cuir (de femme bien sûr) qu'un ami m'avait prêté. Pendant que nous commencions à faire un sort à une bouteille de champagne rosé (eh oui, on ne se refuse rien !!!), elle m'a un peu parlé des soucis qu'elle a avec une table de salon qu'elle venait d'acheter et qui était mal montée, puis nous avons commencé à nous câliner tous les deux. Elle portait sa longue nuisette en satin noir, si douce sous mes mains quand je caressais son corps. Elle a entamé une fellation après avoir baissé mon pantalon sur mes bottes, puis, je me suis complètement déshabillé et elle m'a demandé de la prendre debout en levrette et nous avons fait l'amour une première fois comme ça.
Pendant qu'elle préparait une "collation réparatrice", je suis passé dans sa chambre pour me rhabiller : j'ai d'abord enfilé le tanga noir qu'elle avait porté toute la journée et posé sur son lit en arrivant chez elle, puis j'ai décroché du cintre son pantalon en cuir. Quand elle est venue me rejoindre, je me battais avec les cintres (clin d'oeil à un vieux sketch de Pierre Desproges) pour prendre sa nuisette en satin nacré blanc. Pendant qu'elle enfilait un body noir transparent, j'ai passée la nuisette, puis j'ai chaussé mes Adige en rentrant dedans le pantalon en cuir. Nous avons mangé tous les deux, puis à sa question "Qu'est-ce qu'on va prendre comme dessert", je suis venu m'agenouiller à ses pieds, j'ai embrassé sa chatte à travers le body, et j'ai répondu "ça..." !
Nous sommes repassés dans la chambre, j'ai enlevé mes bottes et le pantalon de cuir mais j'ai gardé le tanga en dentelles noires et la nuisette. Comme souvent, elle m'a enlevé la nuisette un peu plus tard, mais non seulement elle m'a laissé porter son slip, mais pour me faire plaisir, elle a "joué" avec pendant que je la pénétrais : elle me caressait les fesses à travers la dentelle, tirait dessus de telle sorte que la culotte me rentrait dans les fesses. Elle savait très bien que cela m'excitait, et quand à un moment, je lui ai dit "Oh oui, j'aime ça, faire l'amour avec toi... et là en plus, je sens ta culotte qui me rentre dans les fesses, c'est trop bon !", elle m'a dit "Je sais, vas-y, excite-toi, pense à ma chatte, à mon slip, vas-y, défonce-moi...". J'ai arrêté un temps de la pénétrer pour lui "bouffer la chatte" (c'est son expression à elle), elle mouillait abondamment et moi, j'étais aux anges. A la fin, ma langue s'agitait sur ses grandes lèvres, le pouce de ma main gauche agaçait son clitoris, j'agitais mon majeur de la main droite dans son sexe et la première phalange de mon annulaire était enfoncée dans son anus. Quand j'ai senti qu'elle allait jouir, je me suis à nouveau couché sur elle. Mon phallus est rentré en elle sans le moindre effort, elle pleurait et gémissait de plaisir. Elle s'est mise à trembler de tout son corps quand elle atteint l'orgasme et j'ai explosé en elle quelques secondes après. On a atterri doucement, on a fini la bouteille de champ' et vers minuit et demi, je me suis levé, j'ai plaqué son pantalon en cuir sur mes cuisses et je lui ai dit "Je peux te l'emprunter?"; elle m'a répondu "Bien sûr !". Je l'ai mis, puis en lui désignant sa nuisette blanche, je lui ai demandé "et ça aussi?", et elle m'a dit "Si tu veux, tu me les rendras plus tard"... J'ai eu du mal à faire rentrer mes bottes sous le cuir, car le bas du pantalon jusqu'au genou a une coupe assez serrée et moule presque le mollet. De ce fait, je n'ai pas pu tendre la tige de la botte sur mes mollets, heureusement, mes Adige sont très souples... Je lui ai demandé un sac en plastique dans lequel ranger mon slip, mon jean et mon T-shirt, j'ai renfilé mon polo en polaire par dessus le satin, le manteau et j'ai agité ses gants en cuir dans sa direction. Elle a souri et m'a dit "Là, c'est vrai que tu as beaucoup de choses à moi !".


Au mois de Janvier suivant a eu lieu comme tous les ans le Trophée Andros. Je me suis donc absenté de chez moi pour tout le week-end, mais je suis redescendu de Lans en Vercors à minuit et demi. J'ai appelé Fran avant de partir, histoire d'être sur qu'elle voulait toujours bien que je passe la nuit chez elle. Elle m'a dit "OK, mais je te préviens que je dors". Peu après une heure du mat', je me glissais dans son lit, et bien qu'elle soit un peu "ensuquée" comme on dit dans le midi de la France, nous avons fait l'amour.
Je me suis réveillé avant elle, je l'ai regardé dormir quelques minutes, et vers 7 heures et demie, 8 heures, elle a commencé à se réveiller à son tour. Elle a collé ses fesses contre mon ventre et a plaqué sa main gauche sur mon sexe et mes couilles. Très doucement, j'ai posé ma sur son pubis et lentement, petit à petit, j'ai fait monter son plaisir. Ca a fini de la réveiller, je l'ai pénétrée et nous avons joui avant de nous lever et de prendre le petit déjeuner. Nous avons ensuite pris une douche et nous nous sommes habillés. Je savais ce que je voulais mettre, j'ai donc ouvert les tiroirs de sa commode et j'y ai d'abord pris un tanga en dentelle noire. Elle m'a dit "il risque d'être trop petit, celui-là". Je l'ai enfilé, et effectivement, je ne sais pas pourquoi ni comment, mais c'est vrai qu'il est une taille plus petit que ses autres slips, mais cela ne m'a pas empêché de rentrer dedans sans problème. Tout en positionnant ma verge bien droit sous la dentelle, j'ai répondu à Fran "Pas de problème, tu vois, comme ça, elle sera bien maintenue". J'ai ensuite pris un de ses porte-jarretelles, noir avec un motif rouge, et j'ai cherché une paire de bas. Je n'en trouvais pas, alors elle m'a aidé à fouiller et m'en a tendu une paire. J'ai ensuite mis son pantalon en cuir, mais là, j'ai réalisé qu'au niveau chaussures, j'allais être coincé. En effet, je n'avais à ma disposition (à part mes bottes Free Lance rouges) que mes après-skis "de yéti", des Free Lance aussi, certes, mais il faisait un soleil printanier qui ne justifiait pas vraiment que je porte ces chaussures là en pleine ville. Sinon, je n'avais que mes chaussures de rando. J'ai demandé à Fran d'essayer sa paire de mocassin à talons plats, mais ça ne faisait pas très joli avec le pantalon de cuir. Du coup, j'ai ôté son pantalon et mis mon jean (par dessus la lingerie) et nous sommes allés faire quelques courses.
Dès que nous avons été de retour chez elle, je suis allé me changer dans sa chambre. Par dessus le tanga de dentelle noire, j'ai enfilé ma jupe longue en cuir, puis mes bottes rouges à talons stiletto de 12 cm et sa nuisette courte couleur ivoire.
Pendant que je m'habillais, elle avait mis des tournedos de dinde au four et achevait de préparer une salade. Je l'ai aidé à finir puis elle m'a enlacé et m'a embrassé sur la bouche en me caressant à travers ma jupe. J'étais aux anges ! Ensuite, elle s'est agenouillée et a commencé à relever ma jupe. J'ai sorti ma verge (complètement raide est-il besoin de le préciser) à travers l'échancrure du tanga et elle m'a sucé. D'une main, je tenais ma jupe retroussée, ce qui me donnait une vue imprenable sur la dentelle noire du tanga (dont la raie me rentrait dans les fesses), les bas noirs et le bout effilé de mes bottes rouges, et de l'autre, je caressais le cuir sur mes fesses. A un moment, j'ai senti que j'allais jouir, alors j'ai utilisé la bonne vieille technique du "squeezing" pour ne pas balancer la purée, car c'était trop bon, je ne voulais pas que ça s'arrête ! Fran continuait à engloutir mon sexe dans sa bouche, elle m'offrait un vrai festival, c'était divin... Elle me connaît bien maintenant, elle sait ce qui m'excite, c'est pour cela qu'elle a déplacé la main qui me caressait les couilles pour me sodomiser avec son doigt. Elle avait envie que je coule dans sa bouche, mais malheureusement, entre ma fatigue et ce coup de frein que j'avais donné, je n'ai pas pu le faire. Même quand, toujours agenouillée, elle m'a branlé vigoureusement, Popaul était en pleine forme, bien au garde-à-vous, mais je ne pouvais pas éjaculer.
On a mangé (elle avait du arrêter le four au milieu de la pipe magistrale dont elle m'a gratifié), et en guise de dessert, nous sommes repassés dans sa chambre et j'ai dévoré sa chatte. D'abord juste avec ma bouche et ma langue (elle adore quand j'aspire son clito), puis ma main droite s'est promenée sur ses lèvres; de temps, je faisais mine de la pénétrer avec mon doigt, puis je me retirais. Au fur et à mesure, son excitation (et la mienne aussi !) montait, et au bout de quelques minutes, j'ai introduit mon index dans son vagin et mon majeur dans son anus. Je la titillais ainsi en faisant glisser mes doigts en elle, je la sentais vibrer, je l'entendais gémir... A 3 reprises, ma main gauche a quitté sa hanche pour venir enserrer ma queue à travers la jupe de cuir. Je me suis un peu "astiqué le manche" comme ça, mais sans aller jusqu'au bout.
Plus tard, j'ai senti qu'elle allait atteindre l'orgasme. J'ai retiré mes doigts d'elle, j'ai retroussé ma jupe et me suis allongé sur elle. Elle a pointé ma bite à l'orée de ses lèvres et je suis rentré en elle sans la moindre résistance. Elle pleurait tellement son plaisir était fort et elle a joui pendant que je la pistonnais, mais à nouveau sans réussir à éjaculer.
C'est dingue par ce qu'en même temps, j'étais hyper excité (en comptant celui-ci, je lui ai procuré 3 orgasmes en une heure avant de remonter à Lans), mais je n'arrivais plus à éjaculer, j'étais sec.
Je me souviens qu'avant le dernier orgasme, quand elle a senti que je la pénétrais à nouveau, elle m'a dit "Encore !!!", mais, sans me vanter (ce n'est vraiment pas mon genre), c'était plus "comment fais-tu pour y arriver encore" que "donne-m'en encore".
Bref, j'avais prévu à l'origine de partir de chez elle vers 14 heures, et nous étions tellement bien tous les deux que je me suis donné des coups de pied au cul pour la quitter vers 14H30 !

J'ai vraiment pris mon pied, cette femme est vraiment trop ! Et le fait qu'elle me permette de vivre mes fantasmes quand nous sommes ensemble me fait l'apprécier encore plus ! On en parlait justement tous les deux pendant un repas pris ensemble, je lui disais que ce que j'avais découvert avec elle, c'est le coté "fun" de l'amour physique. On parlait des goûts et des couleurs, des fantasmes que nous n'avions pas elle et moi (genre SM, scato, etc..) et elle m'a dit que ça ne la gênait pas du tout que je me travestisse devant elle. Elle a même précisé "Je ne peux pas dire que ça m'excite, mais ça ne me gêne pas, et je sais que toi ça augmente ton plaisir. Du coup, moi, je peux en profiter en retour, donc, tout le monde y gagne"...

Quand je dis que cette femme est formidable !!!
 
Quelle lecture...

Le thème bien sûr, à tout pour me plaire. Le cuir, la lingerie, le contact troublant de la matière sur la peau, la frontière ambigüe entre mâle et femelle... *soupir*

Cependant, sur la forme... Disons qu'elle mériterait d'être un peu plus travaillée. Le choix du vocabulaire (soutif, Popaul...), les détails du quotidien (Allez, on va se faire une petite salade vite fait histoire de récupérer des forces) m'ont empêché d'apprécier votre récit à ça juste valeur. Mais après tout, il s'agit d'un récit vécu, et votre choix de coller à la réalité se justifie.

Bien sûr, ce n'est que moi.

Puisque vous me faite l'honneur d'apprécier mes oeuvrettes, je vous recommande la lecture - hélas amputée de moitié - de Heels Desire, écrite en collaboration il y bien longtemps...
 
Quelle lecture...
Le thème bien sûr, à tout pour me plaire. Le cuir, la lingerie, le contact troublant de la matière sur la peau, la frontière ambigüe entre mâle et femelle... *soupir*
Cependant, sur la forme... Disons qu'elle mériterait d'être un peu plus travaillée. Le choix du vocabulaire (soutif, Popaul...), les détails du quotidien (Allez, on va se faire une petite salade vite fait histoire de récupérer des forces) m'ont empêché d'apprécier votre récit à ça juste valeur. Mais après tout, il s'agit d'un récit vécu, et votre choix de coller à la réalité se justifie.

Effectivement, la forme laisse à désirer... MAIS : Plaise à la Cour d'accorder au modeste épistolier amateur les circonstances atténuantes, attendu que cet écrit n'est rien de plus que la honteuse juxtaposition du texte de quelques mails envoyés à son Confesseur (je l'appellerai ainsi, histoire de rester dans l'ambiance de la Marquise et du Chevalier) qu'il souhaitait informer du développement de sa... situation (OUFFFF !).
C'est dans ce cadre que le style se devait d'être réaliste.

J'ai même l'outrecuidance de penser que la forme de Baby-sitting devrait moins vous laisser sur votre faim, vous que je sais épicurien autant qu'oenologue...



Quelle lecture...
Bien sûr, ce n'est que moi.
Me permettrez-vous de saisir cette perche au bond et de vous rétorquer -votre modestie légendaire dût-elle s'en trouver malmenée- que je trouve ce "que" bien réducteur...
:)))
 
Effectivement, la forme laisse à désirer... MAIS : Plaise à la Cour d'accorder au modeste épistolier amateur les circonstances atténuantes, attendu que cet écrit n'est rien de plus que la honteuse juxtaposition du texte de quelques mails envoyés à son Confesseur (je l'appellerai ainsi, histoire de rester dans l'ambiance de la Marquise et du Chevalier) qu'il souhaitait informer du développement de sa... situation (OUFFFF !).
C'est dans ce cadre que le style se devait d'être réaliste.

J'ai même l'outrecuidance de penser que la forme de Baby-sitting devrait moins vous laisser sur votre faim, vous que je sais épicurien autant qu'oenologue...

Ah, confesseur... Une bien belle occupation, ma foi. J'ai été, dans une vie antérieure, aumônier et confesseur d'une bien étrange confrérie, plus proche du Portier des Chartreux que de Mère Thérésa... Quelqu'un dans le style de l'abbé Dubois, la moustache en moins.

Tout s'explique donc. La forme épistolaire sied bien à ces confessions, où l'on se laisse aller, sachant que l'autre lira avec plaisir, avec gentillesse, sans juger, sans condamner...

Mais finalement non, l'œuf dur mayo entre deux ébats à du mal à passer.


Me permettrez-vous de saisir cette perche au bond et de vous rétorquer -votre modestie légendaire dût-elle s'en trouver malmenée- que je trouve ce "que" bien réducteur...
:)))

Oh oui, grand fou, saisis moi la perche.

Désolé, je n'ai pas pu résister. Pour en être épicurien, oenophile, érotomane raffiné, pervers délicat, je n'en suis pas moins comique troupier à mes heures.
Cela aère la tête, et permet de garder des chevilles pas trop enflées. Ce qui est important lorsqu'on souhaite porter des bottines en chevreau de chez Louboutin.
 

Oh oui, grand fou, saisis moi la perche.

Sous les papas, les laitues, sous l'évier, sous les palétuviers !



(...) je n'en suis pas moins comique troupier à mes heures.

Je suis moi z'aussi (peut-être vous en aperçûtes-vous) spécialiste des Blaguadeuballes chères à Messieurs Vermot et Carambar, bien que mon maitre (mètre vingt) à penser reste Pierre Dac !



Cela aère la tête, et permet de garder des chevilles pas trop enflées. Ce qui est important lorsqu'on souhaite porter des bottines en chevreau de chez Louboutin.

Grâce à vous, cher, je me coucherai moins bête ce soir : je jurais plus par Adige, Free Lance ou les bottiers italiens sans connaitre ce Monsieur Louboutin et "Google est mon ami" m'a permis un aperçu de ses créations, et ma foi, j'en suis fort aise !
Je déduis également de cette vérité première ennoncée par vous que celà nous fait un point commun en plus !!!
Décidément...

Je me souviens qu'il y a quelques lustres, Sire Allabastar et les gentes damoiselles Miss Didi et Sexy Sophie faisait concours d'exposer photos.
Sierrait-il à quelques unes et/ou quelques uns de voir votre serviteur botté?
 
Je pencherai plus du côté d'un autre Pierre, Desproges celui-ci, si je devais me choisir un maître à penser.

J'ai bien aimé le modèle Cheril, chez Free Lance. Et la photo sur la page d'accueil de leur site est des plus émoustillantes...


Quant à poster des images de vous, postez, postez, cher ami. Vous avez le choix de le faire par ici, entre nous. Ou alors de vous aventurer dans la partie du forum consacrée aux photos amateurs. Une plus grande audience, certes; mais un risque de s'exposer aux commentaires désagréables de quelques malotrus.
 
Eh bien, soit... Je me lance !


Je pencherai plus du côté d'un autre Pierre, Desproges celui-ci, si je devais me choisir un maître à penser.
--> Je ne renie point non plus cestui-là !



J'ai bien aimé le modèle Cheril, chez Free Lance. Et la photo sur la page d'accueil de leur site est des plus émoustillantes...
--> Nous avons décidément bien des goûts en commun !




Quant à poster des images de vous, postez, postez, cher ami. Vous avez le choix de le faire par ici, entre nous. Ou alors de vous aventurer dans la partie du forum consacrée aux photos amateurs. Une plus grande audience, certes; mais un risque de s'exposer aux commentaires désagréables de quelques malotrus.
--> Donc, j'ose et je commencerai en toute simplicité par une photo de mes Free Lance toutes rouges dont -honte à moi - je ne connais pas le petit nom !
 
A propos de lecture...

Je ne sais comment se fait-ce, mais je n'ai toujours pas de nouvelles des modérateurs concernant "ze aprouvol" de l'histoire que je leur transmis il ya quelques temps.
Vous qui êtes expérimentés, savez-vous combien de temps il faut attendre?
Merci de vos réponses.
 
--> Donc, j'ose et je commencerai en toute simplicité par une photo de mes Free Lance toutes rouges dont -honte à moi - je ne connais pas le petit nom !

Charmantes, les bottes. Et charmant, leur heureux propriétaire.

Je ne sais comment se fait-ce, mais je n'ai toujours pas de nouvelles des modérateurs concernant "ze aprouvol" de l'histoire que je leur transmis il ya quelques temps.
Vous qui êtes expérimentés, savez-vous combien de temps il faut attendre?
Merci de vos réponses.

Cela fait un bail que je ai publié une historiette, la mémoire me fait défaut. Le délai est toujours plus long, s'agissant de récits en français.
Un délai de quelques semaines me paraît raisonnable.
 
Charmantes, les bottes. Et charmant, leur heureux propriétaire.

--> Si vous trouvez les rouges "charmantes", quid de mes autres Free lance, les blanches, modèle "spécial an 2000"?
(On peut voir sur la photo "détaillée" que l'année modèle est gravée verticalement sur le stiletto métal (12,5 cm, soit 5" pour les puristes !)
 
Heels Desire

Je n'ai regretté qu'une chose, de ne pouvoir lire le fruit de votre collaborateuse.
Quant au reste, même si je préfère de loin les bottes aux mules et autres sandales, j'ai adoré y retrouver votre style, cher Professeur (puisqu'il parait que tel est votre titre de gloire)...
;)
 
Une ch'tite question

Comment se fesse-t'il que mon avatar n'apparaisse pas dans mes post, alors que j'ai bien enregistré une image dans mon profile et que j'ai activé l'option "show avatar"?
Hein?
Comment???

:(
 
Comment se fesse-t'il que mon avatar n'apparaisse pas dans mes post, alors que j'ai bien enregistré une image dans mon profile et que j'ai activé l'option "show avatar"?
Hein?
Comment???

:(

Ben pour ça, va falloir attendre d'arriver à la centaine de posts, ou à peu près.


Oui, c'est grand dommage que la bougresse ait choisi de supprimer ses participations. Ce fut une belle aventure, pleine de tensions, parfois, de grands moments de complictié, et surtout, d'un désir sous jascent qui... qui m'a fait bander plus d'une fois, soyons franc. Mias que peut on faire dans ces cas là? Accepter, sourire et faire face... Heureusement que j'ai eu la prudence d'en garder une copie papier.
(Ceci dit, j'eus aimé que la belle eut la délicatesse de m'en informer prélavablement. Juste par délicatesse.)


Bon. On prend une chambre, toi et moi? :devil:
 
C'est mieux en image

Que pensez-vous du pantalon de cuir de Françoise et de ses bottes?
 
Effeuillage

De retour chez moi, en milieu de nuit, après avoir quitté Françoise en (em-)portant son tanga, sa nuisette nacrée blanc, son pantalon en cuir noir et mes bottes Adige...
 
...à la troublée Diamantine

Les hommes qui aiment les vêtements (et les chaussures) femme, et néanmoins préférent les femmes, ils m'intriguent.
Peut-être qu'ils assument et revendiquent plus que les autres la part féminine qui est en eux...
Pour moi, j'aime tellement les femmes que je voudrais pouvoir connaitre ce qu'elles connaissent et ressentir ce qu'elles ressentent (dans toutes les circonstances...)
Et puis je préfère la délicatesse des atours féminins au coté viril des vêtements et habits masculins.
Mais nous pourrions avoir une discussion passionante à ce sujet si vous le souhaitez.



Pour vous, parce que j'ai détourné votre thread un peu, un petit cadeau de mon disque dur des images favorites:
Merci, merci ! J'aime...
(j'aimerais bien essayer des bottes D&G, tiens...)
:rolleyes:
 
C'est bien exprimé.
Pour moi, j'aime...la bite. *rougit* Et les autres formes masculines. J'apprécie les hommes rudes; les hommes "moyens"; les jolis hommes. (Comment dit-on qu'un homme est attrayant d'une manière feminine? Joli?)
-->1. Cela aussi, c'est bien exprimé !
2. Le rouge vous sied à ravir, très chère...
3. "Joli" me va bien pour exprimer ce que vous voulez dire.


Les jolis hommes, portant leurs vêtements feminins (et les chaussures, le maquillage, l'attitude en général), me semblent un plaisir spécial avec leur beauté, leur rareté. C'est comme on dit ici: "the best of both worlds." En plus, un peu comme vous avez dit, ils ont une tendance pour l' excellence, la délicatesse et la sensualité.
Et le courage, la confiance pour s'habiller au feminin dans notre monde cruel -- qualités trés attirantes!

Et les Dior pour Monsieur?:
--> Voilà une mode masculine qui me plaît !!!
 
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