Photos qui alimentent mes fantasmes

HBuff

History Buff
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Apr 17, 2022
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Voici une magnifique photo dans le style 1900. Pour écrire un récit érotique à partir de cette image, il me suffit de partir d'un quelconque événement historique s'était déroulé à peu près à cette époque. Mes fantasmes sont très souvent des fantasmes de viol. L'idée que cette jeune femme soit saisie par plusieurs hommes, puis déshabillée et violée avec force, ça me fait bander comme un taureau. Il en a toujours été ainsi depuis ma puberté.

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De quelle façon un tel viol peut-il se produire?
1) La guerre. 1899-1900. Siège de Mafeking par 8000 Boers. La ville est défendue par environ 2000 hommes sous les ordres du colonel Baden-Powell. Dans le siège comme tel, il y eut, le 12 mai 1900, une attaque boer qui vint bien près de réussir, mais le général Snyman, décrit comme "le plus stupide et borné de tous les généraux de la guerre des Boers" ne sut pas profiter de la brèche et omit de renforcer son groupe d'assaut, lequel fut finalement repoussé. Ceci me donne un scénario alternatif...

Le général Snyder est tué par un habile tireur d'élite s'étant aventuré diablement près des positions ennemies. Le général de brigade qui le remplace est beaucoup plus compétent. Et lorsque l'attaque est lancée sur Mafeking le 12 mai à l'aube, les Boers prennent la ville d'assaut! Une fois que la garnison s'est rendue et que les hommes ont été désarmés et emprisonnés, les Boers victorieux s'en donnent à coeur-joie. Après des mois de rudes combats sans toucher à une seule femme, ils enfoncent les portes des maisons et s'emparent des Anglaises. Eshter, 22 ans, la fille du maire qu'on voit ci-dessus, sera violée toute la journée, puis jusqu'au lendemain par une bonne douzaine de Boers qui sentent très mauvais, et ce, sous les yeux de son fiancé et de son père.

2) La guerre. En 1900, les Boxers chinois se sont révoltés! Ils haïssent les colonisateurs blancs. À Pékin, le Quartier des légations est assiégé par des milliers de rebelles boxers. Des dignitaires, diplomates et autres citoyens occidentaux s'y sont réfugiés avec leurs proches. Seuls quelques centaines de soldats défendent le quartier. En fait, les Boxers sont venus incroyablement près d'écraser les défenseurs.

Scénario alternatif = Les Boxers gagnent. Ils massacrent les dignitaires et les quelque 2500 chinois chrétiens s'étant aussi réfugiés dans le Quartier, et bien entendu, les Chinois surexcités ne se privent pas de violer les femmes blanches en même temps que les Chinoises chrétiennes. Ils découvrent la blancheur éclatante des fesses d'Esther après avoir goûté la joie de la déshabiller dans un bruyant concert de sifflements et de quolibets, en s'amusant de ses cris éperdus. Esther perdra bientôt la raison, pilonnée par un paysan chinois après l'autre, et son corps l'obligeant à subir des orgasmes par-dessus le marché. Elle est folle de honte! Folle de rage impuissante, tenue comme elle l'est aux poignets et aux chevilles, elle endure un Boxer après l'autre. Chacun de ses amants imposés finit par hurler de plaisir et jouit à gros traits en elle. C'est tellement bon de la violer! Sale Anglaise! Ils haïssent ce qu'elle personnifie en tant que Blanche, mais ils adorent son corps.

3) Un naufrage. 1895. Pendant une traversée du Pacifique, un grand navire de passagers s'échoue sur des récifs quelques part aux environs des Philippines. Le navire coule, lentement mais sûrement, et aucun secours n'arrive. Les marins de l'équipage deviennent de plus en plus indisciplinés. Ils se mettent à boire. Le capitaine et ses maîtres d'équipage ne valent pas mieux. Ils ont subitement une idée. Puisqu'il faut mourir, alors faisons tout ce qui nous plaît. Il y a de belles passagères sur le navire, et les hommes sont peu armés. Le plan est approuvé. L'équipage s'arme et se prépare.

Au crépuscule, l'attaque arrive, soudaine, imparable! Les passagers sont enfermés à fond de cale, d'où ils entendent les cris des femmes qu'on viole. Le capitaine et ses marins choisissent les plus belles, dont Esther. Pendant que le navire continue de couler doucement, l'équipage réalise ses fantasmes les plus sombres en violant les passagères.

4) Les pirates! 1890. Un navire de plaisance hollandais se balade dans les eaux turquoise de la mer de Java. Soudain, le petit équipage aperçoit six jonques qui manœuvrent de manière inquiétante. Arrivées de directions opposées, les six jonques coupe la route au navire de plaisance, avant même qu'il ait le temps de sortir toutes ses voiles. Elles s'approchent, le prenant en tenailles. Un homme corpulent, qui a l'air d'être Malais, crie d'une voix de Stentor. Tout souriant, il fait savoir à l'équipage hollandais qu'il veut simplement de l'eau et des provisions.

Les plaisanciers laissent monter les Malais. On a voulu obliger les trois Hollandaises à descendre, mais celles-ci sont curieuses de voir ces hommes étranges qui les fascinent; elles n'ont jamais vu de Malais d'aussi près. Certains de ces hommes aux torses nus sont beaux à voir. Mais voilà. Ce sont des pirates! Ils sortent et pointent leurs armes à feu sur le capitaine, les marins et les quelques passagers. On ligote solidement les hommes aux mats du yacht, à la rampe, etc., puis les pirates s'emparent des trois Blanches et en deviennent les maîtres absolus.

Esther n'aura jamais vu les Malais d'aussi près. Le gros pirate se la réserve. Esther, 21 ans, était vierge. Plus maintenant. Haletant comme un taureau, à genoux sur le pont, il prend Esther en levrette, à gros coups de boutoir. Il lui montre la vraie nature des tropiques. Il savoure le viol, contemple le cul d'Esther tandis qu'il revit les doux moments du déshabillage, se rappelant les seins d'Esther, soudainement nus au soleil, ses mamelons rosés dansant sous le concert de ses cris éperdus. Ça valait la peine de lui ôter son corset! Quelle ivresse de s'emparer de sa blouse amidonnée, de tout déchirer et de découvrir cette poitrine de Blanche!

Quelle humiliation d'avoir les grosses mains du pirate sur elle, de se faire prendre comme une pouliche, nue comme une guenon à quatre pattes sur le pont, au milieu de tous ces sauvages qui la sifflent. Elle subit l'opprobre d'entendre les grognements du capitaine pirate quand il la bourre à gros traits. Le pire, c'est qu'elle finit par jouir comme une chienne quand les hommes qui suivent la violent à leur tour, la changeant bientôt de position, histoire d'admirer la danse chaotique de ses seins, si blancs au soleil!
 
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Et que dire de celle-ci? From Russia with love!

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Imaginons qu'on est en décembre 1917. La noblesse est tombée! Pour les élites du régime tsariste, il faut fuir! Mais pour cette fille d'un riche comte vivant dans un vaste manoir au sud de Moscou, c'est trop tard! Ah, ils ont voulu fêter Noêl une toute dernière fois dans leur domaine natal, mais les serfs devenus Bolcheviks veulent eux aussi être de la fête!

Pauvre Tamara Igorieva Anichkov! 19 ans, non mariée et toujours vierge... Plus pour longtemps!

Les paysans ont faim et soif! Ils enfoncent les portes. Des coups de feu sont tirés par les hommes de la maison... Trop peu, trop tard! Les paysans sont enragés et ils sont des dizaines! Ils sont trop nombreux! Trop forts! Aux abris! -- Y'en a pas! Aux armes --- Y'a plus de cartouches!!!

Les femmes de la maison crient, éperdues, en détresse... Les paysans sont là. Ils cassent tout! Ils pillent la cave à vin, brisent les meubles, mangent tout!!! Et surtout, ils achèvent les hommes de la maison, et en laissent un ou deux en vie pour qu'il regarde...

Les paysans s'emparent de Tamara et de ses jolies cousines, de sa mère, de sa belle-soeur... Et le manoir tremble sur ses bases. Toutes les filles crient du plus profond de leurs entrailles quand les culs-terreux s'empressent de les mettre à nu! Ils savent manier le couteau et ils ont hâte de voir les seins de Tamara!

Ah, que c'est bon de lui arracher sa robe et ses parures en l'écoutant hurler! Les paysans sont bandés comme des taureaux! Son corsage est détruit, son jupon déchiré et ôté par un vieux paysan qui pousse un râle chargé d'histoire en apercevant le sexe de Tamara, une délicate toison d'un brun chaud. Elle est nue au milieu d'eux! Même ses pieds nus attirent les ardeurs de ses anciens serfs.

Sa tête est brutalement plaquée sur une petite table ronde, près du piano, et pendant que ses cousines râlent comme des chiennes en se faisant pilonner, ce même vieux paysan s'empresse de prendre Tamara par derrière, et après un solide 10 minutes de merveilleux coups de boutoir, après ces minutes inoubliables à lui contempler le cul, qu'il tient entre ses mains terreuses, il crie de joie et l'emplit de sa vieille semence.

Une bonne dizaine de paysans de 18 à 68 ans suivent son brillant exemple. Tamara est déflorée et re-re-déflorée. Ils la violeront toute la nuit, et encore le lendemain matin, elle et ses cousines snobinardes! Ça leur apprendra!

Et quand ils n'auront plus de foutre à lui donner, ils la tiendront dans leurs bras et lui parcourront tout le corps de leurs baisers, de leurs coups de langue. Ils apprendront que Tamara a les seins très sensibles et joueront avec pour la faire couiner et haleter comme une vraie petite pute de basse-ville.

Ses pieds sont éclatants de blancheur, comme ses jambes et ses fesses. Plus d'un paysan s'amusera à lui éjaculer sur les seins, le visage, et à plein d'autres endroits. La majorité des plus jeunes la mettront au montoir à au moins deux ou trois reprises. Il faut en profiter! Ce n'est pas tous les jours qu'on peut farcir une jeune comtesse.

Enfin, ils ont gardé son frère en vie. Et là, ils obligent le frère à s'unir à sa soeur. Après, ils sont bons princes. Ils laissent le jeune comte en vie.

Quand les pillards s'en vont finalement vers midi, Tamara n'est pas au bout de son calvaire. Une section de fantassins en goguette se pointe. Et au grand dam de la pauvre comtesse, les dix soldats rouges s'en donnent à coeur-joie jusqu'au soir. Puis toute la nuit quand d'autres arrivent. Tamara ne sait plus du tout qui elle est.
 
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Ici, ce sont Katy Jurado, Carmen Sevilla et Faith Domergue, interprétant respectivement Helena, Juanita et Dolores.
Ça vient d'une histoire que j'ai publiée sur un autre site que je ne nommerai pas ici.

L'histoire se déroule à Santa Fe au Nouveau-Mexique en 1837. Le gouverneur Pérez, arrivé de Mexico avec ses grands sabots deux ans plus tôt, est devenu tellement détesté que la révolte éclate. Les rebelles gagnent. Vaincu au nord de Santa Fe, Pérez n'ose même pas s'aventurer dans la capitale. Il fuit lâchement et sera bientôt massacré par les Indiens de Santo Domingo (on les appelait les Indiens à l'époque).

À Santa Fe, la garnison fait mutinerie! La poignée de cavaliers qui défendent le palais est rapidement débordée et massacrée. Helena avait organisé une soirée pour célébrer la prochaine victoire du gouverneur son amant. Ses deux cousines de 18 ans, Juanita et Dolores, sont présentes, de même que de nombreux hommes hauts placés avec leurs femmes et leurs filles adultes -- on donnait un bal et l'on jouait aux cartes, un tout nouveau jeu qui s'appelait "le bluff" ou "le poker" (le poker est né à la Nouvelle-Orléans dans les années 1810).

Les soldats mutinés, une fois les hommes massacrés ou mis hors-combat (et bien ligotés), s'emparent de toutes les femmes et les filles du bal. Helena, Dolores, Juanita, Rosa la fille de l'ancien gouverneur, Maria la fille d'un ministre, etc., vont toutes être sauvagement violées par la soldatesque (et forcées à jouir, comme le veut la tradition sur Literotica).

Les esclaves noirs, qui servaient le vin et les canapés ou qui jouaient du violon pour les demoiselles et leurs cavaliers, se rangent du côté des mutins. Eux aussi ils veulent donner leur sperme aux Blanches! Ces petites salopes riches et snobinardes vont payer! Pour les soldats et les Noirs, ce sera une fameuse partie de jambes en l'air. Pour les ministres déchus, ce sera l'opprobre de voir leurs filles et leurs épouses déshonorées. Les soldats, une fois ivres, trouveront fascinant et amusant de voir des Blanches violées par les esclaves déchaînés.

Dolores recevra du sperme Africain au visage et aux seins, voire sur ses jolis pieds, et Juanita, Rosa, Helena ne seront pas épargnées non plus. Les Noirs sont tellement surexcités qu'ils ont plusieurs érections et arrivent à jouir à trois, quatre ou cinq reprises -- ils sont jeunes, et ce n'est pas tous les jours qu'on met à sac le palais d'un gouverneur. Les mutins sont non moins surexcités. Ce sera tout un carnaval!

Dans la ville, les maisons de tout personnage associé au gouvernement tombé sont systématiquement mises à sac par la garnison révolté à qui se joignent de nombreux civils, et bientôt la bande d'Indiens de Santo Domingo. La poignée d'hommes qui tentent de résister sont rapidement neutralisés, puis on viole toute fille adulte ou femme trouvée sur les lieux. Beaucoup d'Indiens se rendent au palais, brûlant de donner du sperme autochtone aux riches snobinardes. Dolores et Juanita ne manqueront pas d'amants cette nuit-là.

Bref, du moment qu'on a un événement historique marqué par le massacre d'une élite, on a aussi un fort potentiel pour un fantasme de viol, ici collectif.

Pour un récit consentant... Un moment donné pendant les scènes de viol, j'écris qu'Helena avait l'habitude d'aller à la campagne avec le jeune capitaine de la troupe de dragons et quatre ou cinq cavaliers robustes, et ils la culbutaient en plein air. Elle adorait ça. Le jeune capitaine est fiancé de Juanita et n'a pas encore consommé son amour pour la jeune vierge, qu'il verra sauvagement prise par les soldats.

En général, on trouve des personnages animés de fantasmes de viol dans mes récits consentants, et aussi, dans mes récits non consentants, des personnages qui aiment le sexe consentant (bien évidemment*).

* Il faut lire les critiques que j'ai reçues de lecteurs qui étaient tout fâchés de trouver des scènes consentantes dans un "rape fantasy". C'est que mes personnages sont des êtres vivants qui ne savent pas qu'ils vont bientôt être victimes d'un viol collectif. Et ils ont eux aussi le droit de vivre et de baiser. Fallait y penser! Lol.
 
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