Barbara était l'épouse d'un ami de mes parents. Elle avait une quinzaine d'années de plus que moi. J'ai fait sa connaissance lors d'une foire-exposition. Ce jour là, elle portait des bottes bordeaux dont les talons mesuraient une bonne demi-douzaine de centimètres. Elle était blonde, mesurait environ un mètre soixante dix, et bien qu'âgée d'une quarantaine d'année à l'époque, elle était bien plus que "présentable".
J'ai immédiatement flashé sur ses bottes, autant que sur elle.
Quelques semaines plus tard, son mari et elle nous invitèrent, mon épouse et moi, à venir chez eux prendre le café. J'acceptai avec plaisir l'invitation. Nous nous installâmes au salon et commençâmes à parler de tout et de rien, comme cela se fait quand on est invité chez des gens, mais qu'on ne les connaît pas intimement.
Elle portait à nouveau ces bottes qui me fascinaient. J'essayais de cacher mon émoi, mais je n'arrêtais pas de chercher un subterfuge pour les essayer. En les jaugeant du regard, j'estimais que c'était du 38 ou du 39, or je chausse du 39! Je maudissais intérieurement la présence de son mari et de ma femme qui m'empêchaient de demander carrément à Barbara "Vos bottes sont magnifiques, accepteriez-vous de me les prêter le temps que je les essaye?". Je jure que si j'avais été seul avec elle, je n'aurais pas hésité lui demander, j'ai déjà agi ainsi dans des circonstances similaires! Mais, là, c'était décidément impossible.
Quelque temps plus tard, je lui demandais si elle pouvait m'indiquer où étaient les toilettes. Elle me guida elle-même dans l'appartement et me dit en poussant la porte voisine "Voici la salle de bains, si vous voulez vous laver les mains". J'eus le temps de constater que quelques pièces de linge finissaient de sécher sur un étendoir dans la baignoire. Je mis la main sur la poignée de la porte des WC tandis qu'elle repartit vers le salon. Dès qu'elle eut tourné le coin du couloir, je fis demi-tour et me précipitai dans la salle de bains. J'examinai le linge et découvris tout de suite un slip en polyamide noir qui ne pouvait appartenir qu'à elle. Je m'en saisis comme un voleur et m'enfermai dans les toilettes.
J'ôtai mon jean et mon slip, puis je me mis à frotter doucement l'étoffe noire sur ma verge tendue. Comme c'était bon, comme était douce et sensuelle la caresse du nylon sur ma peau! Je ne pensais qu'à Barbara et à ses bottes tout en me caressant ainsi.
J'enfilai alors carrément sa petite culotte : mon sexe tendu dépassait un peu de l'élastique, mais à ce léger détail près, c'était ma taille. Je me caressai un instant les fesses et les testicules à travers le polyamide, puis je fis sortir ma verge par l'entrejambe, et gardant la culotte sur moi, je poursuivis mes caresses jusqu'au bout de mon plaisir.
Je tirai la chasse, puis passai dans la pièce voisine pour y remettre en place cet instrument momentané de ma jouissance et regagnai le salon pour y terminer mon café.
Je n'ai jamais eu la chance de mettre à mes pieds les bottes de la belle Barbara, mais, à défaut, je peux me vanter d'avoir porté quelques minutes sa lingerie, et je doute que beaucoup d'hommes aient eu ce privilège!