vous écrivez? vous lisez? quelles histoires vous branchent?

vivostatic

Virgin
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Sep 12, 2006
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hello,

juste une petite discussion pour connaitre vos gouts en matière d'histoires,
et savoir si vous êtes là pour lire ou pour montrer ce que vous avez écrit, ou bien les deux.

Qu'est-ce qui vous branche? et vous dégoute? ou vous laisse indifférent?

Si vous écrivez, pourquoi écrivez-vous ce genre d'histoires?
Parce que ça vous chamboule (comprenez "vous fait bander")?

Qu'essayez-vous de susciter chez le lecteur?
De l'excitation?

Que pensez-vous des dialogues dans ce genre d'histoires?
Vous les préférez crus? ou imagés?
Préférez-vous le mot "vagin" ou "chatte", "bite, queue" ou "pénis" ou "braquemart"?

Il vous arrive de vous masturber en lisant une histoire? ou même en écrivant une histoire?

Avez-vous le courage de lire une histoire qui fait 45 pages? ou même seulement 10? même si elle est bien écrite?

Pratiquez-vous l'autocensure? pour pouvoir être lu par le plus grand nombre? Ou bien y a-t-il des histoires que vous gardez pour vous?



Assez de questions pour le moment, merci de répondre!
 
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Qu'est-ce qui vous branche? et vous dégoute? ou vous laisse indifférent? Tout ce qui se rapproche de mes fantasmes: bissexualité, lingerie, talons hauts, urophilie, SM… Mes dégoûts en matière de littérature sont les mêmes que dans la vie, tout ce qui n'est pas consensuel, les enfants, le crade, la violence, … Quant à l'indifférence, disons que… si naturellement je serai attiré par des histoires qui incluent mes fantaisies, si elles sont bien écrites, pourquoi pas…

Si vous écrivez, pourquoi écrivez-vous ce genre d'histoires? Les motivations sont multiples: plaisir d'écrire, plaisir de mettre en scène des situations excitantes, envie de les partager avec d'autres (d'où certaines oeuvrettes de commande).
Parce que ça vous chamboule (comprenez "vous fait bander")? Sans doute, même si l'excitation, au moment de l'écriture, est plus cérébrale que physique. Plutôt un désir de chambouler les lecteurs & lectrices.

Qu'essayez-vous de susciter chez le lecteur?
De l'excitation? Oui, voir plus haut. Et surtout de l'admiration sans bornes pour mes immenses qualités d'écrivain (en attendant de faire découvrir mes non moins immenses qualités d'amant :D )

Que pensez-vous des dialogues dans ce genre d'histoires? Souvent indigents, parfois bien trouvés. Difficiles, en tout cas, à écrire.
Vous les préférez crus? ou imagés? Crus ou imagés, selon les situations.
Préférez-vous le mot "vagin" ou "chatte", "bite, queue" ou "pénis" ou "braquemart"? "Vagin" et "pénis" sont bons pour les ouvrages médicaux. Mais cela n'engage que moi.

Il vous arrive de vous masturber en lisant une histoire? ou même en écrivant une histoire? En lisant, oui, ou non, je me branle rarement. En écrivant, ça me paraît difficile – j'ai déjà bien du mal à taper sur le clavier avec deux mains…

Avez-vous le courage de lire une histoire qui fait 45 pages? ou même seulement 10? même si elle est bien écrite? Oui, si elle est bien écrite et si elle n'est pas bourrée de fautes de langue. C'est rédhibitoire; mon esprit passe automatiquement en mode correction et je perds le fil.

Pratiquez-vous l'autocensure? pour pouvoir être lu par le plus grand nombre? Non, dans la mesure où j'écris pour raconter ce qui me plait. Et internet permet de garder un anonymat confortable qui autorise toutes les confidences.
Ou bien y a-t-il des histoires que vous gardez pour vous? Oui, mais pour d'autres raisons. Soit parce qu'elles ont été écrites pour une personne en particulier, et dans ce cas je ne me sens pas le droit de la diffuser (sauf si le ou la dédicataire est d'accord); soit parce qu'elles ne sont pas terminées, ou pas au point.

Pour ceux qui en auraient le courage, l'introduction des aventures de la Marquise et du Chevalier contient quelques explications de mon point de vue sur le sujet. Et un peu de publicité ne fait pas de mal….
 
hm... je vais essayer de répondre...


Qu'est-ce qui vous branche? et vous dégoute? ou vous laisse indifférent?
Pour moi les categories plus interessantes sont "erotic horror" et "non-consent"... aussi quelquefois "fantasy" et "non human" quand il-y-a des elements de horror... be me interesse pas le inzest...

Si vous écrivez, pourquoi écrivez-vous ce genre d'histoires?
Parce que ça vous chamboule (comprenez "vous fait bander")?
J'ecrire parce-que j'aime ecrire. Aussi c'est interessant pour moi decouvrir les idees j'ai dans ma tete... et ce me plait quand quelqu'un dit qu'il/elle aime mes histoires...

Qu'essayez-vous de susciter chez le lecteur?
De l'excitation?
Quelquefois. Mais autre fois choc ou confusion. Mes histoires ne sont pas tres sexuelles...

Que pensez-vous des dialogues dans ce genre d'histoires?
Vous les préférez crus? ou imagés?
Préférez-vous le mot "vagin" ou "chatte", "bite, queue" ou "pénis" ou "braquemart"?
Ca depend du dialogue et aussi de la histoire.
Je ne comprends pas la deuxieme question, et je ne peut pas repondre la troisieme parce-que le francais n'est pas ma langue.

Il vous arrive de vous masturber en lisant une histoire? ou même en écrivant une histoire?
Quelquefois en lisant mais c'est plus normal que je lire sans de me masturber, mais plus tard, quand je me masturbe, je rappele de la histoire.

Avez-vous le courage de lire une histoire qui fait 45 pages? ou même seulement 10? même si elle est bien écrite?
45 pages... Je ne sait pas. Peut-etre je vais lire un petit peu chaque jour pour beaucoup des jours... Mais avec une histoire ainsi de langue je prefere lire dans un livre e pas dans un computer.

Pratiquez-vous l'autocensure? pour pouvoir être lu par le plus grand nombre? Ou bien y a-t-il des histoires que vous gardez pour vous?
Oui. Parce-que pas touts des mes fantasies sont "legal"... Et aussi dans une grand parte des mes histoires, je suis plus interesse dans la histoire e pas dans le sex, e j'ai une autocensure inverse quand je pense des lecteurs que veut lire aussi quelque chose sur le sex...
Mais je suis quelqu'un qui ecrire pour des lecteurs. Quand j'ecrit quelque chose que je ne veut pas que quelqu'un lire cela, je ne peut pas voir une racon pour ecrire...
 
Pour aider Munachi à répondre à la question:

vagin: vagina, die Scheide

chatte: twat, pussy, Fötze

pénis: est-il besoin de traduire?

bite, queue: dick, cock, Schwanz.

(j'ai toujours aimé les jeux avec les langues....)
 
merci... mais mon probleme pour repondre n'est pas entendre les mots, c'est que je ne dire les mots parce-que je n'ecrire pas en francais, hehe... en allemand est anglais je normalement prefere des descriptions, mais ca depends du context. Il y a des histoire que demande que j'ecrire "down there", il y a des histoires qui sont mellieur avec "cunt", il y a des histoires avec autres mots...
 
De même qu'il y a des moments où "salope" peut être un compliment...
 
inceste mère/fils

Toutes les histoires inceste mère/fils et plus généralement les histoires femmes agées / jeunes hommes.
 
J'ecris et lis les histoires d'hommes bisexuels et les femmes qui les adorent !
 
J'ecris les histories toutes courtes (50 mots) et assez longues mais toujours en Anglais...

Og
 
--> Je lis et j'écris.


Qu'est-ce qui vous branche? et vous dégoute? ou vous laisse indifférent?
--> Ce qui me branche? Tout ce qui est symbole d'une féminité exacerbée : bottes (hautes et hot) à hauts talons, vêtements de cuirs (jupe, "catsuits", pantalons et bien sûr gants !), fourrure, lingerie fine, ... qu'un homme pourrait s'approprier, travestisme (mais sans homosexualité masculine).
Ce qui me "débranche"? La pédophilie, la zoophilie, la violence gratuite.
Ce qui m'indiffère? En fait, soit l'histoire me branche et je la dévore, soit je n'accroche pas et je laisse tomber.


Si vous écrivez, pourquoi écrivez-vous ce genre d'histoires?
Parce que ça vous chamboule (comprenez "vous fait bander")?
--> Je pense (sans vouloir faire de psychologie de prisunic) que l'écriture peut être pour moi une soupape de sécurité, ou, à tout le moins, de dépréssurisation. En effet, je ne peux pas vivre mes fantasmes chez moi et cérire me permet de ne pas sombrer dans une schyzophrénie de bas-étage !
Bien sûr, dans la mesure où je suis alors "à fond" dans mes fantasmes, écrire provoque souvent chez moi une dilatation des corps caverneux.


Qu'essayez-vous de susciter chez le lecteur?
De l'excitation?
--> Oui, mais pas seulement, et ce n'est pas le but premier. Je cherche plutôt à faire partager mes goûts, mes expériences et mes fantasmes.


Que pensez-vous des dialogues dans ce genre d'histoires?
Vous les préférez crus? ou imagés?
Préférez-vous le mot "vagin" ou "chatte", "bite, queue" ou "pénis" ou "braquemart"?
--> Les dialogues sont importants, et j'essaie (toute vanité mise à part) de les soigner autant que le reste. En effet, l'écrit doit permettre au lecteur de se représenter les personnages, d'imaginer les situations. Un film porno a pour base des images et un dialogue composé d'onomatopées ne retire que presque rien à l'histoire, et ce qui peut passer dans un film casse l'ambiance dans un livre.
Selon les situations, les mots doivent être parfois crus, parfois imagés, voire tendres, c'est exactement comme dans la vraie vie ! On n'a pas (enfin, j'espère) toujours les mêmes mots avec son amant(e)...


Il vous arrive de vous masturber en lisant une histoire? ou même en écrivant une histoire?
--> Si l'histoire que je lis tape dans mon "domaine de prédilection", oui, assez facilement (même si je relis un de mes propres écrits). Par contre, je tape toujours (sur mon clavier) à deux mains !


Avez-vous le courage de lire une histoire qui fait 45 pages? ou même seulement 10? même si elle est bien écrite?
--> Absolument ! De toutes façons, en amour, ce n'est pas une question de longueur, n'est-ce pas? Mais j'aime par contre qu'il y ait une "vraie" histoire, qu'elle soit plausible, ou alors dès le départ annoncée comme fantastique; j'adooooore que l'auteur sache jouer avec les mots. Par contre, ce qui est totalement et définitivement rédhibitoire, ce sont les fautes d'orthographe et de grammaire; je pense que je suis (sur ce plan là entre autres) très proche du Professeur Chauderlos !

Pratiquez-vous l'autocensure? pour pouvoir être lu par le plus grand nombre? Ou bien y a-t-il des histoires que vous gardez pour vous?
--> Je ne pratique pas l'autocensure, pas plus quand j'écris que quand je lis. Oserais-je citer le sus-dit Professeur "Internet permet de garder un anonymat confortable qui autorise toutes les confidences"...
;-)
 
La flatterie ne vous conduira nulle part, cher ami.

Merci en tout cas de m'avoir cité deux fois (rien que ça) dans votre message...

Au plaisir de vous lire.
 
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