quovadis77
Virgin
- Joined
- Mar 3, 2008
- Posts
- 2
J’ai habité plusieurs années un petit immeuble d’une ville de province dans lequel tout le monde se connaissait.
Au RDC, habitait une dame seule de 60 ou 70 ans (je ne l’ai jamais su exactement). Forte et corpulente, mais toujours très soignée, cheveux blancs, poitrine généreuse, elle avait quelque chose de sensuel et de gourmand sous un air d’autorité souriante. Mais mes excellentes relations avec elle se limitaient à des petits services qu’elle me rendait au quotidien : courrier, potins, recettes de cuisine, elle ne ratait aucune occasion de me parler.
Elle est venue un jour frapper à ma porte, un étage plus haut, pour m’apporter une lettre que le facteur lui avait confiée le matin même. (C’était sans doute prémédité, parce que c’était un samedi, j’étais chez moi et le facteur m’y aurait trouvé.) Ce jour là était particulièrement chaud et, n’attendant pas de visite, je n’étais vêtu que d’un short en faisant ma vaisselle. (Short rendu nécessaire par la présence des gosses de l’immeuble d’en face qui, depuis leur balcon, avaient une large vue chez moi)
Malgré ma tenue, la courtoisie et les bons rapports de voisinage m’ont incité à lui offrir quelque chose à boire, ce qu’elle a accepté sans façons. Il faut dire qu’une fois la lettre remise, elle est restée sur le palier à bavarder et je sentais bien qu’il aurait été discourtois de m’en tenir là et de refermer la porte.
Elle est donc entrée, s’est assise dans une chauffeuse et je suis allé chercher des sodas. Tout en buvant, nous avons bavardé un bon moment durant lequel j’ai fini par m’apercevoir que ses yeux se tournaient bien souvent vers l’entrejambe de mon short : certains de mes mouvements laissaient voir mon sexe, encore bien sage à ce moment là, mais qui vagabondait à sa guise dans mon short assez large et elle n’en perdait pas une miette.
Un peu troublé, je me suis arrangé pour satisfaire sa curiosité et j’ai adopté des gestes et des positions qui lui permettaient de se rincer l’œil tout à loisir.
Puis elle a orienté la conversation vers des sujets plus lestes que j’ai suivis avec empressement : la chaleur, les tenues légères, le confort de la nudité, la difficulté à s’endormir…Sans lui dire explicitement, je lui ai fait comprendre avec des allusions que je me masturbais le soir avant de m’endormir et que j’y trouvais un apaisement agréable pour trouver le sommeil. Sur le coup, je n’ai pas saisi, dans sa réponse, si elle m’avait compris. Elle s’est contentée de dire que « ça ne fait de mal à personne ».
Je suis revenu à nos considérations vestimentaires et, en écartant largement une jambe de mon short, je lui ai montré que, par cette chaleur, je ne portais rien dessous. Elle a chaleureusement approuvé ma tenue, m’avouant que chez elle, elle portait aussi des choses légères et ajoutant : « Vous devriez le retirer pour vous mettre à l’aise ; ne vous gênez surtout pas pour moi. Si je pouvais, j’en ferais autant… »
Ni une ni deux. Je me suis mis debout, face à elle à un mètre et j’ai baissé mon short, la laissant regarder mon sexe déjà un peu gonflé.
Je me suis assis à nouveau, les cuisses bien écartées et je l’ai invitée à se mettre à l’aise aussi, que ça ne gênerait personne, en tous cas pas moi, et qu’on était entre nous et qu’il n’ y avait pas de scrupules à avoir.
« Oui, vous avez bien raison. » Et elle a ouvert deux ou trois boutons de son corsage. J’ai vu alors un immense soutient-gorge blanc moulant une poitrine forte et lourde. Elle s’est cambrée en soupirant d’aise et a ajouté en tirant sur son soutient-gorge : « Ah ce truc, qu’est ce que ça serre ! Vous les hommes vous n’avez pas ce problème… »
- Eh bien dégrafez le !
Je commençais à bander sérieusement ce qu’elle ne pouvait pas ignorer. D’ailleurs, son regard fixé sur ma verge prouvait qu’elle s’en rendait compte.
Elle s’est contorsionnée pour atteindre l’agrafe dans son dos et, ne voulant pas rater ça, je me suis levé pour l’aider et me suis approché d’elle : debout en face d’elle, mon sexe durci à quelques cm de ses yeux, je me suis penché pour fourrager dans son dos, un peu gêné par quelques bourrelets qui tendaient son corsage, et je me suis attardé plus que de raison pour trouver l’attache de son soutient-gorge, laquelle a fini par céder. Je me suis reculé en la regardant, toujours debout et la queue brandie. Elle a libéré ses seins en les massant vigoureusement et a déclaré, les yeux sur ma bite : « Oh que ça fait du bien tout ça ! »
- Vous devriez aussi retirer votre culotte. Elle doit vous tenir chaud.
Là, je m’enhardissais mais c’est sans doute ce qu’elle attendait. Un regard appuyé, un air de connivence :
-Tu veux voir aussi mon minou ?
…Nous en étions déjà au « tu » !... C’était dit en souriant, avec un regard de défi.
- Euh…Oui…Si vous voulez, j’aimerais bien.
J’étais un peu sidéré de sa question, n’attendant pas de proposition aussi directe, mais j’ai appris par la suite qu’elle aimait « diriger les débats » et qu’à ce moment elle se sentait maître du jeu, ce qui l’excitait beaucoup.
Sans hésiter et toujours assise, elle a ôté son slip. Une fois l’opération terminée, elle l’a jeté par terre et s’est livrée à mes regards, sa jupe remontée sur ses cuisses écartées. Je ne voyais pas grand chose de sa chatte, juste un peu de poils, à cause de l’embonpoint de ses cuisses qui, même écartées, laissaient peu de place entre elles au regard. J’étais un peu sidéré par la taille de son slip, jeté à terre, qui dépassait de loin ce que j’avais pu voir jusqu’ici en matière de lingerie.
- Eh bien, assieds toi. Tu ne vois rien debout comme ça.
J’ai obtempéré et me suis assis en lui laissant le spectacle de ma queue raide et dure que, manifestement, elle appréciait. Dommage que je ne voyais rien de sa fente; j’en mourrais d’envie.
- Alors, on est quand même plus à l’aise comme ça , non? Eh bien, dis moi, ça a l’air d’aller ta santé; c’est bien intéressant ce que tu me montres…On dirait que tu es comme moi, tu aimes bien te montrer hein ? Et toi, tu vois bien aussi ?
- Pas très bien, non. J’aimerais vous voir mieux.
Et comme je faisais un geste pour me lever et m’approcher d’elle, elle m’arrêté.
- Non, reste où tu es. Attends, je vais te faire voir.
Elle cambra son bassin dans le fauteuil où elle était assise et écarta d’avantage ses cuisses, ce qui permis, enfin, de lui voir le minou. Elle avait des poils courts et frisés, poivre et sel et des petites lèvres qui dépassaient largement de sa fente. Elle m’excitait au plus haut point et j’aimais beaucoup lui montrer comment je bandais.
- Caresse toi en me regardant. Tu vois, j’aime beaucoup que tu me regardes. Et j’aime regarder aussi. Vas-y, fais le devant moi.
Dérouté (et pourtant très excité) par ses directives, j’hésitais un peu, pas encore tout à fait à l’aise.
- Tu n’aimes pas me voir ? Tu m’as dis tout à l’heure que tu le fais tout seul (Donc, elle avait bien compris !), alors partage le avec moi. Fais moi voir ce que tu te fais. Prends ton sexe dans ta main. Oui, bien. Maintenant, décalotte toi. Voilà, comme ça. Continue, fais toi du bien. Mais tu ne jouis pas tout de suite, hein.
Brutalement libéré, je me suis masturbé avec délice, excité par la situation et attentif à mes sensations pour ne pas exploser. Elle me regardait avec avidité (et je lui rendais bien !), un sourire encourageant sur les lèvres en se massant le bout de ses seins. Dépassé par son autorité naturelle, je n’osais prendre aucune initiative, me contentant de me masturber devant elle en la regardant, mais, malgré le plaisir que je prenais, je me demandais si nous allions passer à autre chose.
- Et vous ? J’aimerais bien vous toucher.
- Ah coquin, on veut passer aux choses sérieuses…Moi aussi j’ai envie de passer à autre chose. Viens devant moi.
J’ai obéi sans hésiter et me suis approché d’elle debout. Elle a saisi ma queue, m’a caressé et soupesé les couilles et m’a décalotté tout doucement en m’examinant. Puis elle a voracement avalé ma bite pour me faire une pipe divine se servant avec art de ses lèvres, de sa langue et de ses mains….
Je n’avais plus aucun tabou. Nous avons exploré de nombreuses variantes avec les doigts, les yeux et le sexe ; nous avons échangé (surtout elle) plein de confidences sur nos fantasmes (à l’époque, je découvrais les miens) et sur son penchant pour la domination soft ; nous nous sommes goûtés, léchés et dégustés et elle exigeait alors un baiser pour connaître le goût de sa chatte….
Nous avons connu un plaisir intense l’un et l’autre en nous livrant sans retenue à nos envies. J’ai découvert à cette occasion une violente attirance pour les femmes mûres et dominatrices.
Et nous ne nous en sommes pas tenus là !…
Nous avons multiplié les rencontres de ce genre, axées sur ses fantasmes et la sensualité et c’est dans la plupart des cas elle qui me sollicitait, ce qui ne me déplaisait nullement. Toujours très discrète vis à vis de ma vie privée et des autres locataires, connaissant mes horaires, elle guettait mon arrivée dans le couloir de l’immeuble. Elle entrouvrait alors sa porte et me saluait d’un sourire coquin et d’une invite :
- Bonjour cher voisin. Dites, je ne trouve plus mon programme de télé. Vous pouvez me prêter le vôtre ? Vous me le descendrez quand vous pourrez.
Ou encore :
- Tiens, cher voisin, Bonjour. Dites, j’ai une lampe qui ne marche pas. Vous pourriez voir ça ? Venez quand vous aurez un moment.
…Et ça marchait à tous les coups ! (Enfin quand je pouvais).
Je descendais alors « quand j’avais un moment », c’est à dire dans la ½ heure, après avoir passé une tenue adéquat et facile à enlever. Elle m’accueillait d’un petit rire coquin, exigeait un baiser et passait sa main sur mon entrejambe : « Elle est toujours là ? Viens. »
Elle m’entraînait dans son salon (je n’ai jamais pénétré dans sa chambre), m’invitait à me mettre à l’aise (ce que je n’osais pas faire au début) et allait chercher des verres dans sa cuisine. Sa tenue d’intérieur était une sorte de sari long et ample qu’elle portait sans lingerie. Quand elle se déplaçait j’étais immanquablement excité par les mouvement de ses gros seins qui se balançaient sous le tissu. Elle m’a patiemment expliqué ce qu’elle voulait dire par « me mettre à l’aise » : c’était me mettre nu et m’asseoir sur son canapé en attendant son retour (quelle faisait durer à plaisir, me semble-t-il).
Alors elle prenait place en face de moi, sur une sorte de chaise longue, retroussait son sari pour que je puisse la voir et se touchait les seins avec des soupirs gourmands. Elle me demandait de m’exhiber devant elle en s’assurant que je la voyais bien moi aussi.
Elle m’a avoué au fil du temps qu’elle aimait particulièrement cette situation de domination et d’exhibition. C’est, parmi les jeux érotiques des préliminaires, celui qui l’excitait le plus.
Elle le faisait durer le temps qu’elle voulait et, une fois délectée et repue de son pouvoir sur moi, elle décidait de passer à autre chose.
C’était toujours pour moi (et pour elle !) des orgasmes violents et voluptueux. J’en étais arrivé à attendre ses invitations et, quand elle ne se manifestait pas d’elle même, j’allais fourrager à grand bruit dans ma boîte aux lettres en espérant qu’elle entendrait. C’était de temps à autre couronné de succès.
Je me suis enhardi quelques fois à prendre l’initiative de la démarche. Comme sa porte ne s’ouvrait pas à mon arrivée, je me suis permis de frapper à sa porte pour lui demander un conseil quelconque :
- Bonjour chère voisine. Dites, j’ai une plante qui a l’air malade. Vous y connaissez quelque chose ? Vous pourriez venir la voir ?
- Avec grand plaisir cher voisin. Je monte dans la soirée si vous êtes là…
Évidemment j’étais là !
Elle montait à mon étage vêtue de son sari et, aussitôt que je lui avais ouvert, elle me poussait dans mon entrée et refermait elle-même la porte. Après m’avoir imposé un baiser appuyé, elle me palpait le sexe à travers mon pantalon, me demandant à voir la petite plante malade. Elle pouvait alors voir, toucher, goûter tout ce quelle voulait et m’infliger ensuite le déroulement de ses fantasmes que je subissais avec délices.
C’est mon déménagement qui a mis fin à cette relation. Nous sommes restés en relation plusieurs mois, mais en raison de la distance, nos jeux étaient prévus d’avance par téléphone et n’avaient plus le même charme.
Aujourd’hui, je rêve de rencontrer à nouveau une femme d’âge mûr, douce mais sûre d' elle et dominatrice, de préférence assez ronde. J’aimerais revivre ces situations de dépendance et d’obéissance pour me plier à ce genre de fantasmes ou à d’autres pourvu qu’ils soient basés sur de longs préliminaires et que je ressente, à travers eux, le désir violent de ma partenaire.
Alors chère inconnue, si vous vous reconnaissez et que vous voulez me plier à vos désirs, nous avons des milliers de plaisirs à partager.
Écrivez-moi.
-
Au RDC, habitait une dame seule de 60 ou 70 ans (je ne l’ai jamais su exactement). Forte et corpulente, mais toujours très soignée, cheveux blancs, poitrine généreuse, elle avait quelque chose de sensuel et de gourmand sous un air d’autorité souriante. Mais mes excellentes relations avec elle se limitaient à des petits services qu’elle me rendait au quotidien : courrier, potins, recettes de cuisine, elle ne ratait aucune occasion de me parler.
Elle est venue un jour frapper à ma porte, un étage plus haut, pour m’apporter une lettre que le facteur lui avait confiée le matin même. (C’était sans doute prémédité, parce que c’était un samedi, j’étais chez moi et le facteur m’y aurait trouvé.) Ce jour là était particulièrement chaud et, n’attendant pas de visite, je n’étais vêtu que d’un short en faisant ma vaisselle. (Short rendu nécessaire par la présence des gosses de l’immeuble d’en face qui, depuis leur balcon, avaient une large vue chez moi)
Malgré ma tenue, la courtoisie et les bons rapports de voisinage m’ont incité à lui offrir quelque chose à boire, ce qu’elle a accepté sans façons. Il faut dire qu’une fois la lettre remise, elle est restée sur le palier à bavarder et je sentais bien qu’il aurait été discourtois de m’en tenir là et de refermer la porte.
Elle est donc entrée, s’est assise dans une chauffeuse et je suis allé chercher des sodas. Tout en buvant, nous avons bavardé un bon moment durant lequel j’ai fini par m’apercevoir que ses yeux se tournaient bien souvent vers l’entrejambe de mon short : certains de mes mouvements laissaient voir mon sexe, encore bien sage à ce moment là, mais qui vagabondait à sa guise dans mon short assez large et elle n’en perdait pas une miette.
Un peu troublé, je me suis arrangé pour satisfaire sa curiosité et j’ai adopté des gestes et des positions qui lui permettaient de se rincer l’œil tout à loisir.
Puis elle a orienté la conversation vers des sujets plus lestes que j’ai suivis avec empressement : la chaleur, les tenues légères, le confort de la nudité, la difficulté à s’endormir…Sans lui dire explicitement, je lui ai fait comprendre avec des allusions que je me masturbais le soir avant de m’endormir et que j’y trouvais un apaisement agréable pour trouver le sommeil. Sur le coup, je n’ai pas saisi, dans sa réponse, si elle m’avait compris. Elle s’est contentée de dire que « ça ne fait de mal à personne ».
Je suis revenu à nos considérations vestimentaires et, en écartant largement une jambe de mon short, je lui ai montré que, par cette chaleur, je ne portais rien dessous. Elle a chaleureusement approuvé ma tenue, m’avouant que chez elle, elle portait aussi des choses légères et ajoutant : « Vous devriez le retirer pour vous mettre à l’aise ; ne vous gênez surtout pas pour moi. Si je pouvais, j’en ferais autant… »
Ni une ni deux. Je me suis mis debout, face à elle à un mètre et j’ai baissé mon short, la laissant regarder mon sexe déjà un peu gonflé.
Je me suis assis à nouveau, les cuisses bien écartées et je l’ai invitée à se mettre à l’aise aussi, que ça ne gênerait personne, en tous cas pas moi, et qu’on était entre nous et qu’il n’ y avait pas de scrupules à avoir.
« Oui, vous avez bien raison. » Et elle a ouvert deux ou trois boutons de son corsage. J’ai vu alors un immense soutient-gorge blanc moulant une poitrine forte et lourde. Elle s’est cambrée en soupirant d’aise et a ajouté en tirant sur son soutient-gorge : « Ah ce truc, qu’est ce que ça serre ! Vous les hommes vous n’avez pas ce problème… »
- Eh bien dégrafez le !
Je commençais à bander sérieusement ce qu’elle ne pouvait pas ignorer. D’ailleurs, son regard fixé sur ma verge prouvait qu’elle s’en rendait compte.
Elle s’est contorsionnée pour atteindre l’agrafe dans son dos et, ne voulant pas rater ça, je me suis levé pour l’aider et me suis approché d’elle : debout en face d’elle, mon sexe durci à quelques cm de ses yeux, je me suis penché pour fourrager dans son dos, un peu gêné par quelques bourrelets qui tendaient son corsage, et je me suis attardé plus que de raison pour trouver l’attache de son soutient-gorge, laquelle a fini par céder. Je me suis reculé en la regardant, toujours debout et la queue brandie. Elle a libéré ses seins en les massant vigoureusement et a déclaré, les yeux sur ma bite : « Oh que ça fait du bien tout ça ! »
- Vous devriez aussi retirer votre culotte. Elle doit vous tenir chaud.
Là, je m’enhardissais mais c’est sans doute ce qu’elle attendait. Un regard appuyé, un air de connivence :
-Tu veux voir aussi mon minou ?
…Nous en étions déjà au « tu » !... C’était dit en souriant, avec un regard de défi.
- Euh…Oui…Si vous voulez, j’aimerais bien.
J’étais un peu sidéré de sa question, n’attendant pas de proposition aussi directe, mais j’ai appris par la suite qu’elle aimait « diriger les débats » et qu’à ce moment elle se sentait maître du jeu, ce qui l’excitait beaucoup.
Sans hésiter et toujours assise, elle a ôté son slip. Une fois l’opération terminée, elle l’a jeté par terre et s’est livrée à mes regards, sa jupe remontée sur ses cuisses écartées. Je ne voyais pas grand chose de sa chatte, juste un peu de poils, à cause de l’embonpoint de ses cuisses qui, même écartées, laissaient peu de place entre elles au regard. J’étais un peu sidéré par la taille de son slip, jeté à terre, qui dépassait de loin ce que j’avais pu voir jusqu’ici en matière de lingerie.
- Eh bien, assieds toi. Tu ne vois rien debout comme ça.
J’ai obtempéré et me suis assis en lui laissant le spectacle de ma queue raide et dure que, manifestement, elle appréciait. Dommage que je ne voyais rien de sa fente; j’en mourrais d’envie.
- Alors, on est quand même plus à l’aise comme ça , non? Eh bien, dis moi, ça a l’air d’aller ta santé; c’est bien intéressant ce que tu me montres…On dirait que tu es comme moi, tu aimes bien te montrer hein ? Et toi, tu vois bien aussi ?
- Pas très bien, non. J’aimerais vous voir mieux.
Et comme je faisais un geste pour me lever et m’approcher d’elle, elle m’arrêté.
- Non, reste où tu es. Attends, je vais te faire voir.
Elle cambra son bassin dans le fauteuil où elle était assise et écarta d’avantage ses cuisses, ce qui permis, enfin, de lui voir le minou. Elle avait des poils courts et frisés, poivre et sel et des petites lèvres qui dépassaient largement de sa fente. Elle m’excitait au plus haut point et j’aimais beaucoup lui montrer comment je bandais.
- Caresse toi en me regardant. Tu vois, j’aime beaucoup que tu me regardes. Et j’aime regarder aussi. Vas-y, fais le devant moi.
Dérouté (et pourtant très excité) par ses directives, j’hésitais un peu, pas encore tout à fait à l’aise.
- Tu n’aimes pas me voir ? Tu m’as dis tout à l’heure que tu le fais tout seul (Donc, elle avait bien compris !), alors partage le avec moi. Fais moi voir ce que tu te fais. Prends ton sexe dans ta main. Oui, bien. Maintenant, décalotte toi. Voilà, comme ça. Continue, fais toi du bien. Mais tu ne jouis pas tout de suite, hein.
Brutalement libéré, je me suis masturbé avec délice, excité par la situation et attentif à mes sensations pour ne pas exploser. Elle me regardait avec avidité (et je lui rendais bien !), un sourire encourageant sur les lèvres en se massant le bout de ses seins. Dépassé par son autorité naturelle, je n’osais prendre aucune initiative, me contentant de me masturber devant elle en la regardant, mais, malgré le plaisir que je prenais, je me demandais si nous allions passer à autre chose.
- Et vous ? J’aimerais bien vous toucher.
- Ah coquin, on veut passer aux choses sérieuses…Moi aussi j’ai envie de passer à autre chose. Viens devant moi.
J’ai obéi sans hésiter et me suis approché d’elle debout. Elle a saisi ma queue, m’a caressé et soupesé les couilles et m’a décalotté tout doucement en m’examinant. Puis elle a voracement avalé ma bite pour me faire une pipe divine se servant avec art de ses lèvres, de sa langue et de ses mains….
Je n’avais plus aucun tabou. Nous avons exploré de nombreuses variantes avec les doigts, les yeux et le sexe ; nous avons échangé (surtout elle) plein de confidences sur nos fantasmes (à l’époque, je découvrais les miens) et sur son penchant pour la domination soft ; nous nous sommes goûtés, léchés et dégustés et elle exigeait alors un baiser pour connaître le goût de sa chatte….
Nous avons connu un plaisir intense l’un et l’autre en nous livrant sans retenue à nos envies. J’ai découvert à cette occasion une violente attirance pour les femmes mûres et dominatrices.
Et nous ne nous en sommes pas tenus là !…
Nous avons multiplié les rencontres de ce genre, axées sur ses fantasmes et la sensualité et c’est dans la plupart des cas elle qui me sollicitait, ce qui ne me déplaisait nullement. Toujours très discrète vis à vis de ma vie privée et des autres locataires, connaissant mes horaires, elle guettait mon arrivée dans le couloir de l’immeuble. Elle entrouvrait alors sa porte et me saluait d’un sourire coquin et d’une invite :
- Bonjour cher voisin. Dites, je ne trouve plus mon programme de télé. Vous pouvez me prêter le vôtre ? Vous me le descendrez quand vous pourrez.
Ou encore :
- Tiens, cher voisin, Bonjour. Dites, j’ai une lampe qui ne marche pas. Vous pourriez voir ça ? Venez quand vous aurez un moment.
…Et ça marchait à tous les coups ! (Enfin quand je pouvais).
Je descendais alors « quand j’avais un moment », c’est à dire dans la ½ heure, après avoir passé une tenue adéquat et facile à enlever. Elle m’accueillait d’un petit rire coquin, exigeait un baiser et passait sa main sur mon entrejambe : « Elle est toujours là ? Viens. »
Elle m’entraînait dans son salon (je n’ai jamais pénétré dans sa chambre), m’invitait à me mettre à l’aise (ce que je n’osais pas faire au début) et allait chercher des verres dans sa cuisine. Sa tenue d’intérieur était une sorte de sari long et ample qu’elle portait sans lingerie. Quand elle se déplaçait j’étais immanquablement excité par les mouvement de ses gros seins qui se balançaient sous le tissu. Elle m’a patiemment expliqué ce qu’elle voulait dire par « me mettre à l’aise » : c’était me mettre nu et m’asseoir sur son canapé en attendant son retour (quelle faisait durer à plaisir, me semble-t-il).
Alors elle prenait place en face de moi, sur une sorte de chaise longue, retroussait son sari pour que je puisse la voir et se touchait les seins avec des soupirs gourmands. Elle me demandait de m’exhiber devant elle en s’assurant que je la voyais bien moi aussi.
Elle m’a avoué au fil du temps qu’elle aimait particulièrement cette situation de domination et d’exhibition. C’est, parmi les jeux érotiques des préliminaires, celui qui l’excitait le plus.
Elle le faisait durer le temps qu’elle voulait et, une fois délectée et repue de son pouvoir sur moi, elle décidait de passer à autre chose.
C’était toujours pour moi (et pour elle !) des orgasmes violents et voluptueux. J’en étais arrivé à attendre ses invitations et, quand elle ne se manifestait pas d’elle même, j’allais fourrager à grand bruit dans ma boîte aux lettres en espérant qu’elle entendrait. C’était de temps à autre couronné de succès.
Je me suis enhardi quelques fois à prendre l’initiative de la démarche. Comme sa porte ne s’ouvrait pas à mon arrivée, je me suis permis de frapper à sa porte pour lui demander un conseil quelconque :
- Bonjour chère voisine. Dites, j’ai une plante qui a l’air malade. Vous y connaissez quelque chose ? Vous pourriez venir la voir ?
- Avec grand plaisir cher voisin. Je monte dans la soirée si vous êtes là…
Évidemment j’étais là !
Elle montait à mon étage vêtue de son sari et, aussitôt que je lui avais ouvert, elle me poussait dans mon entrée et refermait elle-même la porte. Après m’avoir imposé un baiser appuyé, elle me palpait le sexe à travers mon pantalon, me demandant à voir la petite plante malade. Elle pouvait alors voir, toucher, goûter tout ce quelle voulait et m’infliger ensuite le déroulement de ses fantasmes que je subissais avec délices.
C’est mon déménagement qui a mis fin à cette relation. Nous sommes restés en relation plusieurs mois, mais en raison de la distance, nos jeux étaient prévus d’avance par téléphone et n’avaient plus le même charme.
Aujourd’hui, je rêve de rencontrer à nouveau une femme d’âge mûr, douce mais sûre d' elle et dominatrice, de préférence assez ronde. J’aimerais revivre ces situations de dépendance et d’obéissance pour me plier à ce genre de fantasmes ou à d’autres pourvu qu’ils soient basés sur de longs préliminaires et que je ressente, à travers eux, le désir violent de ma partenaire.
Alors chère inconnue, si vous vous reconnaissez et que vous voulez me plier à vos désirs, nous avons des milliers de plaisirs à partager.
Écrivez-moi.
-