vivostatic
Virgin
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- Sep 12, 2006
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- 17
Voila juste un passage d'une histoire que je suis en train d'écrire. C'est hard, inceste mère-fils, domination, et j'en passe... vous n'etes pas obligés de lire non plus.
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Le rectum de maman était devenu mon coin de paradis. Je lui fouillais consciencieusement les entrailles quand l'envie m'en venait, c'est-à-dire pratiquement tous les jours. J'avais l'impression d'explorer l'intérieur d'un sac en velours visqueux et chaud dont les parois étaient pressurisées de l'extérieur.
C'était merveilleux de la sentir gémir et geindre lorsqu'elle offrait ainsi ses chairs à ma lubricité exaltée. Elle avait appris à aimer mes incursions passionnées dans son intimité profonde et délicate. Mais le chemin parcourut fut rude, surtout pour elle. Son anus ne ressemblait plus en rien à ce qu'il était avant que je ne jette mon dévolu sur lui. La peau et la chair élastiques avaient fait place à un large orifice bâillant. J'avais commencé par pratiquer son anus le plus souvent possible. D'abord avec ma queue, qui n'était pas spécialement énorme, puis avec mes doigts. Au fil du temps, son cul devint de plus en plus agréable. Je dus par la suite y introduire tout un tas d'objets plus larges les uns que les autres, afin que l'ouverture soit à mon goût.
Ma mère n'avait pratiquement pas bronché, lors de ces séances. Elle se contentait de poser la tête et la poitrine sur un large oreiller, d'écarter les cuisses et de se cambrer. Je ne lui avais même pas fait part de mon désir de faire de son cul ma salle de jeu. Je m'étais contenté d'agir, et j'étais fier de mon oeuvre.
Je m'amusais parfois à y enfouir des objets incongrus. Un jour, j'ai vidé son sac à main et lui ai fourré l'intégralité du contenu entre les fesses. Puis je lui ai demandé de se lever, et de marcher. Un à un, les objets tombèrent au sol. D'abord son rouge à lèvres, puis son téléphone portable, son étui à lunettes... Ca la fit rire.
Elle savait que je m'étais épris de son cul, et elle faisait en sorte de toujours être disponible. J'y engouffrais mes mains à toute heure du jour ou de la nuit. J'aimais par exemple m'endormir en la trifouillant profondément, c'était même devenu une habitude.
Puisque nous dormions dorénavant dans son lit, elle me présentait fidèlement son trou chaque soir, prête à l'emploi.
"Fouilles-moi." disait-elle.
Je ne me faisais bien sûr pas prier. Elle m'avait avoué ne plus pouvoir s'en passer. Elle en avait maintenant besoin pour jouir.
"Remplis-moi." suppliait-elle.
Et elle se masturbait furieusement.
Son cul faisait intégralement et spécifiquement partie de ma vie, comme un personnage vivant. Il y avait d'un côté ma mère, et de l'autre son cul, et je les possédais tous deux. J'avais pris quelques photos digitales de son fessier que j'ai ensuite montré à quelques personnes sur des forums "spécialisés", sur le net. Je fus félicité, je dus faire des jaloux aussi. Je n'avais pas implicitement révélé que c'était le cul de ma mère, celle-ci me l'ayant défendu, je ne sais pour quelle raison.
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Tout commentaires bienvenus of course.
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Le rectum de maman était devenu mon coin de paradis. Je lui fouillais consciencieusement les entrailles quand l'envie m'en venait, c'est-à-dire pratiquement tous les jours. J'avais l'impression d'explorer l'intérieur d'un sac en velours visqueux et chaud dont les parois étaient pressurisées de l'extérieur.
C'était merveilleux de la sentir gémir et geindre lorsqu'elle offrait ainsi ses chairs à ma lubricité exaltée. Elle avait appris à aimer mes incursions passionnées dans son intimité profonde et délicate. Mais le chemin parcourut fut rude, surtout pour elle. Son anus ne ressemblait plus en rien à ce qu'il était avant que je ne jette mon dévolu sur lui. La peau et la chair élastiques avaient fait place à un large orifice bâillant. J'avais commencé par pratiquer son anus le plus souvent possible. D'abord avec ma queue, qui n'était pas spécialement énorme, puis avec mes doigts. Au fil du temps, son cul devint de plus en plus agréable. Je dus par la suite y introduire tout un tas d'objets plus larges les uns que les autres, afin que l'ouverture soit à mon goût.
Ma mère n'avait pratiquement pas bronché, lors de ces séances. Elle se contentait de poser la tête et la poitrine sur un large oreiller, d'écarter les cuisses et de se cambrer. Je ne lui avais même pas fait part de mon désir de faire de son cul ma salle de jeu. Je m'étais contenté d'agir, et j'étais fier de mon oeuvre.
Je m'amusais parfois à y enfouir des objets incongrus. Un jour, j'ai vidé son sac à main et lui ai fourré l'intégralité du contenu entre les fesses. Puis je lui ai demandé de se lever, et de marcher. Un à un, les objets tombèrent au sol. D'abord son rouge à lèvres, puis son téléphone portable, son étui à lunettes... Ca la fit rire.
Elle savait que je m'étais épris de son cul, et elle faisait en sorte de toujours être disponible. J'y engouffrais mes mains à toute heure du jour ou de la nuit. J'aimais par exemple m'endormir en la trifouillant profondément, c'était même devenu une habitude.
Puisque nous dormions dorénavant dans son lit, elle me présentait fidèlement son trou chaque soir, prête à l'emploi.
"Fouilles-moi." disait-elle.
Je ne me faisais bien sûr pas prier. Elle m'avait avoué ne plus pouvoir s'en passer. Elle en avait maintenant besoin pour jouir.
"Remplis-moi." suppliait-elle.
Et elle se masturbait furieusement.
Son cul faisait intégralement et spécifiquement partie de ma vie, comme un personnage vivant. Il y avait d'un côté ma mère, et de l'autre son cul, et je les possédais tous deux. J'avais pris quelques photos digitales de son fessier que j'ai ensuite montré à quelques personnes sur des forums "spécialisés", sur le net. Je fus félicité, je dus faire des jaloux aussi. Je n'avais pas implicitement révélé que c'était le cul de ma mère, celle-ci me l'ayant défendu, je ne sais pour quelle raison.
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Tout commentaires bienvenus of course.
