Réflexion suscité par le commentaire d’orpheu sur l’histoire de Dominic47 «Clémence, une jeune aristo 01»

Aurailiens

Virgin
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Jan 16, 2017
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Je partage complètement la 1ère remarque d'horpheu, à titre personnel !
J'aime quand une histoire démarre avec une femme issue d'un milieu familial, social, professionnel, qui a reçu une éducation, qui s'est fait une morale, des principes, sûrement féministes, qui a de la confiance, la fierté de ce qu’elle a construit...

...et la conduit (l’histoire) à découvrir par la contrainte celle, invisible en elle, faite de pulsions venues de son inconscient, de frustrations, découvrir ce besoin enfoui, animal et inavoué de plaisir brute et brutal... ce moment de vie qui fait les histoires de non consentement, verra s'effondrer un par un dans la honte, le refus, l'humiliation... et le plaisir, toutes ces barrières, ces tabous qui font possible notre vie en société. L'accepter ou pas ? Il n'y a pas de meilleurs moment, pour moi, que celui où une femme, en public, et par la contrainte, le piège... renonce dans la honte à un pan de sa vie pour s'offrir à la perversité. Symboliquement, le 1er «Mets toi à genoux»

D'où vient chez moi, chez nous un tel plaisir ??? Je me le demande bien mais quel plaisir ! C’est ce qu’on appelle un fantasme et qui n’a rien à voir avec la vie réelle dans laquelle j’ai un profond respect pour les autres en général et les femmes en particulier et peut-être encore plus.

Enfin, au cas où des défenseurs de la morale s’offusqueraient en lisant ces lignes, je conclurai en avouant que mon fantasme se situerait plutôt du côté de la victime...
 
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