Malika

SamBotte

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Feb 8, 2010
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Ce n'est plus un forum, c'est un aéroport international un jour d'éruption de volcan islandais !!!

Bon, et bien tant pis pour les z'absents, je continue à vous abreuvzer de mes historiettes...
 
Malika, l'histoire

Parmi les nombreuses femmes que je côtoie à la fac où je travaille, il y a une "beurette" de 35-40 ans environ qui s'appelle Malika. Nous sommes bons copains tous les deux; je ne l'ai jamais vu porter de cuir, par contre, je sais qu'elle possède plusieurs paires de bottes.
Depuis l'hiver 2005-2006, je sais aussi (pour lui avoir demandé) qu'elle chausse du 39 ! Au mois d'Octobre ou Novembre 2006, je ne sais plus très bien, j'avais même réussi par deux fois à enfiler "vite fait sur le gaz" une de ses bottes. Nous étions seuls au standard où elle travaille, et les 2 fois, je lui ai dit que ses bottes me plaisaient et lui ai demandé de m'en prêter une "le temps de l'essayer".

Un matin, je l'ai vue chaussée d'une paire de bottes noires à bouts pointus et talons aiguille de 8 cm environ (à vue de nez). Je lui ai dit alors "tiens, tu t'es offert une nouvelle paire, je ne les connaissais pas celles-là; elles sont très belles"; elle m'a répondu "elles ne sont pas neuves, je les ai depuis 3 ans, mais comme celles-là, c'est du vrai cuir, elles sont restées en bon état. Et en plus, c'est de la bonne qualité". Comme d'hab' dans ces situations là, j'ai enchaîné du tac au tac "il faudra que tu me les prêtes", ce à quoi elle a répondu en riant "C'est çà, d'accord. Je te les amènerai un jour".
Le Mardi suivant, je suis passé lui dire bonjour et j'ai vu qu'elle les portait aux pieds. L'après-midi, je suis repassé la voir et j'ai constaté qu'elle avait changé de chaussures. Je lui ai fait remarquer et elle m'a répondu qu'elle était rentrée manger chez elle à midi et que dans la mesure où elle devait rentrer à pied chez elle ce soir, elle avait préféré mettre des chaussures avec moins de talons. Je lui ai dit alors "Ben, tu aurais du me ramener les bottes alors, j'aurais pu les essayer !" et elle m'a répondu "Parce que tu veux les essayer pour de vrai?". Je lui ai dit "Oui, ça me plairait de les essayer", et alors, elle m'a dit "Ah bon… Et bien alors, je te les prêterai… Jeudi, parce que demain, je suis en congés".
Le surlendemain, dès que mon travail m'a envoyé dans le coin où est situé le standard, je suis passé la voir. J'ai constaté un peu déçu qu'elle portait ses bottes aux pieds, alors que j'espérais qu'elle les ait amenées dans un sac en plastique. Sans me dégonfler, je lui dis "Ah ben tu les a mises à tes pieds, tu m'as oublié". Elle m'a répondu "C'est pas grave, tiens" et elle s'est déchaussée (les 2 pieds). J'étais d'autant plus excité que ces bottes me vont vraiment bien, que je ne me sentais pas du tout serré dedans. J'ai fait juste quelques pas dans le bureau sous son regard attentif, car malgré mon culot légendaire, la pièce où elle travaille étant largement vitrée et surtout très passante (car le standard est aussi l'endroit où se présentent tous les livreurs), je ne me sentais pas dans un coin assez discret. Le pire, c'est que pendant que je me déchaussais, elle m'a dit "Si, si, vas-y, marche un peu dans le bureau". Je n'ai pu que lui répondre "C'est pas que je veux pas, c'est que j'ai un peu peur de ce que pourraient dire certaines personnes si elles rentraient maintenant dans le bureau". J'ai ajouté "Il faudra que tu me les reprêtes, mais dans un coin plus tranquille", et au moment où je partais, elle m'a dit "je te les reprêterai un jour... pour toute une journée" !
Gluuuuuuuups !!!

Quelques temps plus tard, je suis passé la voir "pour raisons professionnelles" et je lui ai dit que, vu qu'il n'y avait plus de budget pour lui en acheter une neuve, j'allais voir si je pouvais récupérer d'un autre bureau une imprimante pour remplacer celle de son bureau qui avait rendu l'âme. Elle m'a dit "Tu es trop gentil, qu'est ce que tu veux me demander pour que je te remercie?" et je lui ai répondu "Ca" en désignant du doigt les bottes qu'elle portait.
Elle m'a répondu "Si tu veux, je te les prête demain, parce que je ne suis pas là Vendredi. Tu pourras même les garder tout le week-end si tu veux !". Cette conclusion m'a mis dans un état proche du Nebraska... Vers 15H00, je suis repassé devant son bureau et je suis rentré bavarder deux secondes avec elle, et alors, elle m'a dit "Tu pars à quelle heure ce soir?". Je lui ai répondu "A 17H00", et là elle me dit, "Si tu veux, je te les files dès ce soir". Je lui ai demandé "Tu as une autre paire de chaussures avec toi?" et elle m'a répondu "Oui, pour rentrer ce soir, j'ai pris une paire de tennis".
Mais le mieux, c'est que quand je lui ai dit "Le souci, c'est que je suis en moto aujourd'hui et que je n'aurai pas beaucoup le temps d'en profiter", elle m'a redit "Tu peux les garder jusqu'à Lundi" !!!!!!
Pendant les trois nuits qui précédaient ce Lundi, j'avais décidé que je ferai avec elle mon "coming out" et c'est pourquoi, en lui rendant ses jolies bottes (que j'avais quand même réussi à mettre par deux fois aux pieds en allant promener mes chiens), je lui ai aussi amené mes Free Lances blanches, (celles qui ont les stilettos métal de 12,5 cm) !
Il n'y a eu aucune équivoque, elle a bien compris de quoi il retournait : elle m'a demandé où je les avais trouvées, je lui ai dit que c'était au Marché St Bruno et nous avons parlé à cœur ouvert. Je lui ai dit que mon épouse n'était pas au courant que je possédais ces bottes (qu'elle -Malika- a trouvé très jolies, manifestement très sexy, mais aussi trop hautes pour qu'elle puisse marcher avec !). Je lui ai même proposé de les garder un peu pour chez elle si elle voulait, et là, elle m'a dit que si elle rentrait avec ça, son copain ne la laisserait pas sortir du lit. Elle m'a dit que tous les deux ils aimaient le cuir, qu'elle n'avait pas de pantalon en cuir, mais qu'elle possédait une jupe juste au dessus du genou, mais qu'elle ne se mettait pas en jupe au boulot parce qu'une de ses collègues est un peu "tapée" et qu'elle croit que si Malika se met en jupe un jour, c'est pour lui faire de la concurrence !!!
Bref, elle m'a dit qu'elle possédait même un ensemble slip/soutien-gorge en cuir mais pas de mini. Quand je l’ai entendu dire ça, j’ai ressenti soudainement une grosse difficulté à déglutir. En même temps, je savais déjà qu’à la première occasion, j’essaierai de lui emprunter cette pièce de lingerie ou, au moins, de lui en reparler!
Et puis, au moment de se séparer, en parlant des bottes que je venais de lui rendre, elle m'a dit "En tous cas, quand tu as envie, demande les moi et je te les prête". Alors, histoire de ne pas être en reste, je ne sais plus exactement comment j'ai amené ça, mais je lui ai dit "Et si tu veux rester coincée au lit tout un week-end, fais-moi signe, j'ai tout ce qu'il faut". Elle m'a dit "Comment ça, tout? Tu as quoi en plus des bottes?" et je lui ai dit "Une mini en cuir !". Elle a répondu "Tu en fais commerce ou quoi?" et j'ai dit "Non, mais j'en ai une à moi, et je te la prête quand tu veux". Elle a dit "Elle est de quelle couleur, blanche?", j'ai répondu "Non, elle est noire" et elle m'a dit "J'aime beaucoup le blanc, mais il faudra quand même que tu me montres ça"...

Je n'ai même pas attendu la semaine suivante pour carrément lui apporter ma minijupe en cuir. Elle l'a sorti du sac en plastique dans lequel je lui avais amenée et elle m'a dit "Waôw, elle est super belle ! En fait, moi, la mienne, ce du faux cuir; c'est bien imité, mais c'est pas tout à fait pareil. J'ai aussi un pantalon, mais c'est pas du vrai cuir non plus". J'ai bondi sur l'occasion pour la faire parler de sa lingerie. "Et l'ensemble slip/soutif dont tu m'as parlé, il est comment?". Elle m'a répondu avec une teinte de regret dans la voix "C'est un petit shorty tout simple, mais là encore, c'est pareil, tu sais, j'avais pas les moyens d'en acheter en vrai cuir !".
Quand je suis retourné dans mon bureau, j'étais hyper excité.

Quand j’ai su que, quelques semaines plus tard, mon épouse devait s’absenter de la maison pour trois semaines, j’ai attendu un moment où Malikal était seule au standard pour lui reparler de sa proposition.
"- Tu m'as bien dit que je pouvais te redemander tes bottes quand je voulais, hein?
- Oui, pourquoi, tu voudrais que je te les reprêtes?
- Oui. Pour tout te dire, ma femme part 3 semaines et…
- Et tu as donc 3 semaines de liberté pour faire ce que tu veux…
- C'est cela ! Je voulais aussi te demander…Tu voudrais bien me prêter aussi ton ensemble en skaï rouge?".​
Je m'attendais à ce qu'elle manifeste un peu de réticence, et je réfléchissais à ce que je pourrais lui répondre, mais, à ma grande surprise, elle n'émit pas la moindre objection ! Elle me dit tout simplement "OK, je t'amène tout ça demain".

C'est ainsi que pendant trois semaines, j'ai porté à diverses reprises (et le plus souvent possible) ses bottes noires. Malheureusement pour moi, entre leur bout très effilé et les talons (aiguilles de 8,5 cm), je me suis très vite rendu compte que ne pouvais pas les porter en public sans me faire remarquer. Je me suis donc "contenté" de les mettre en voiture, ou quand j'allais promener mes chiens dans des coins tranquilles, et bien sûr, quand j'étais chez moi. Mais, bon sang, qu'est-ce que j'étais bien dedans !
En ce qui concerne sa lingerie, mon seul regret est que le soutien-gorge était trop petit pour moi ! Par contre, personne n'a jamais pu deviner les nombreuses fois où j'ai porté son shorty rouge sous mon jean !

Mon épouse est rentrée à la maison, et j'ai ramené à mon boulot les atours de Malika pour les cacher dans mon casier personnel. Le Jeudi suivant, juste avant qu'elle ne parte, je l'ai appelée pour lui demander si je pouvais garder encore un peu ses bottes et sa lingerie en faux cuir rouge. J'ai dit au téléphone "tes trucs" car je n'étais pas seul dans le bureau, mais elle a très bien compris de quoi je parlais. Elle m'a répondu "Bien sûr que tu peux, aucun problème. De toutes façons, je suis en vacances la semaine prochaine, alors garde-les et amuse-toi bien." Elle a ri et elle a répété "amuses-toi bien, hein?" en riant de plus belle... J'ai donc pu à nouveau profiter de ses bottes quand j'étais en voiture pendant dix jours.

Toutes les bonnes choses ayant une fin, je me suis finalement résigné à lui rendre ses bottes, son petit soutien-gorge et son shorty en faux cuir rouge. Pour la remercier du plaisir qu'elle m'avait fait, je lui ai offert une des deux jupes en cuir que je possède !
Ces jupes s'arrêtent toutes les deux juste au dessus du genou, celle que je lui ai offerte est toute simple et droite, celle que j'ai gardée possède une petite "fente d'aisance" sur l'arrière. Or la couture avait craqué à cet endroit là et comme je savais que Malika était douée avec du fil et une aiguille, je lui ai demandé si elle acceptait de faire "un petit point de couture" pour la réparer. Elle a accepté en me disant "Mais bien sûr !" comme si rien n'était plus naturel.

L'année suivante, je l'ai vue un jour arriver avec aux pieds des bottes que je ne lui connaissais pas. Je lui ai demandé de me les montrer et elle a dévoilé à mes yeux ébahis des cuissardes en (faux) cuir aux talons aiguilles de 8 ou 9 cm et aux bouts très effilés, "juste comme elle aime" !
Quand je lui ai dis qu'il faudrait qu'elle me les prête un jour, elle m'a dit "Ah là, désolé, mais celles-là, c'est mon homme qui me les a offertes, je ne peux pas te les prêter".
J'ai bien retenté ma chance quelques mois plus tard, mais elle a réitéré son refus.

Je m'étais presque résigné, mais au printemps 2010, le vent a tourné : elle m'a appelé au secours pour refaire son ordinateur personnel suite à une attaque massive de virus et autres programmes malveillants.
La veille du jour où je devais lui rapporter, elle m'avait promis de me donner une ancienne paire de boots blanches. Je les ai donc emportées chez moi "en échange" du PC réparé, mais le lendemain, je lui ai expliqué qu'à mon grand dam, elles étaient plus petites que celles qu'elle m'avait prêtées auparavant et que je ne pouvais pas bien les mettre dehors car elles me serraient un peu trop… et en plus, la couleur blanche et les talons de 6 cm ne passaient pas vraiment inaperçus si je voulais les porter dans la rue.

Et le miracle a eu lieu : il fallait que je repasse chez elle le lendemain pour configurer sa box, et elle me demanda alors (sans que je comprenne bien pourquoi) "si tu veux bien, rapporte-moi les boots blanches en même temps". De mon coté, j'avais la ferme intention de lui demander qu'à défaut de me les prêter, elle me laisse enfiler juste un instant ses cuissardes. Mais quand nous sommes arrivés chez elle, sa fille était là; manque de chance pour moi, un de ses profs était absent et du coup, elle était rentrée plus tôt. Je maudis jusqu'à la 32ème génération l'enseignant, mais fis contre mauvaise fortune bon cœur et lui configurai son accès Internet.
Quand j'eus terminé les opérations, elle me remercia en m'offrant un café. Et c'est au moment où j'allais partir que les choses se précipitèrent soudainement.
Elle m'apprit qu'elle venait de se séparer d'avec "son homme", que c'est pour cette raison qu'il n'était pas là ces deux fois où j'étais venu chez elle. Je lui répondis poliment que j'étais désolé pour elle, mais que je pensais que, même si ça pouvait faire mal, il valait mieux parfois pouvoir trancher dans le vif. Elle me dit qu'elle était d'accord avec moi et se dirigea vers l'entrée de son appartement. Elle me demanda "tu as mes boots?" et j'acquiesçai. Alors que je les lui tendais, elle me dit alors "Si tu veux, à la place, je te donne mes cuissardes. Tu sais, en fait, c'était lui qui me les avait offertes, et maintenant, je préfère me débarrasser de tout ce qui me le rappelle."
J'eus aussitôt un mal fou à déglutir et à contrôler le tremblement nerveux qui se mit à m'envahir…
Nous nous remerciâmes mutuellement, elle pour la remise en état de son PC, et moi pour le cadeau qu'elle venait de me faire. En rentrant chez moi, je profitai rapidement d'être quasiment seul dans le bus pour m'installer au fond du véhicule et chausser quelques minutes cet obscur objet de mon désir.

Je m'endormis en rêvant à "l'essayage" plus complet que je prévoyais de faire de "ma" première paire de cuissardes. Le lendemain matin, je les emportai avec moi au bureau, après avoir piqué en cachette une petite culotte de mon épouse en lieu et place d'un slip à moi. Je les chaussai pour conduire jusqu'à mon lieu de travail et remis mes tennis pour aller jusqu'à mon bureau. Une demi-heure plus tard, n'y tenant plus, j'allais m'enfermer dans les toilettes et, uniquement vêtu de ma petite culotte en polyamide noir et des cuissardes, je me masturbai !
A midi, je trouvai un bureau désert et m'y enfermai pour me photographier d'abord chaussé des bottes sous puis par-dessus mon jean, et ensuite dans la tenue qui m'avait conduit au plaisir un peu plus tôt dans la matinée.

A la veille du week-end, Malika me demanda "alors, les bottes, elles te vont?". Je lui répondis que oui, qu'elles m'allaient très bien et que je les trouvais vraiment géniales. Elle me dit "oui, tu as raison; et en plus, tu as vu, elles montent carrément là" en posant sa main une dizaine de centimètres au dessus de son genou. Je la remerciai à nouveau avec insistance et elle me dit "De rien ! C'est moi qui doit te remercier pour ce que tu as fait pour moi"…

Ce qui me plaît énormément avec Malika, c'est qu'elle sait que j'aime me travestir, que j'utilise ses bottes dehors mais je la soupçonne en plus fortement d'avoir deviné ce que je fais avec ses vêtements quand je les lui emprunte... Je ne sais pas si entre elle et moi, il pourrait se passer "autre chose", en tous cas, même si je n'arrive pas à sortir avec elle (ce qui ne me déplairait pas, surtout maintenant que je connais un peu mieux ses fantasmes), je pense pouvoir continuer à connaître avec elle des moments... sympas !
 
Des photos???

Bon, et bin, on va respecter "l'ordre d'apparition à l'écran", voici donc les bottes noires.
 
Les boots blanches

Voici les boots blanches que je n'ai pas gardées...
 

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Et enfin, les cuissardes !

Voici quelques photos des cuissardes que m'a données Malika.
 
Les cuissardes de Malika (suite et fin)

Voici encore quelques photos de ces bottes hyper agréables à porter et si sexy...

Qu'en pensez-vous?
 
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