Les opinions superflues du Professeur Chauder

Professeur, la citation que vous metionnez dans un autre de vos nombreux discours, est-elle ici, dans ce thread? 'Les seins de Sophie Marceau' me semble etre chante par Julien Clerc dans je ne me souviens plus laquelle de ses chansons.

Et parlant de Sophie Marceau, je lui prefere Emannuelle Beart, de loin!

Alors, Professeur, voici ma question (notez que c'est un matin ensoleille, et comme vous connaissez mon penchant pour flaner lors de ce genre de temperature vous vous doutez que je ne suis pas des plus alertes ce matin)

Ma question, donc... pourquoi certains hommes refusent de voir leur anus stimule alors qu'ils insistent pour stimuler -voire penetrer- celui de leur partenaire?
 
Presque une bonne réponse...

Same player shoot again,
 
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Professeur Chauder! Vous etes trop injuste! Vos constantes insertions de paroles de chansons m'empechent de trouver les citations cachees! Je n'ai pu que remarquer l'allusion a 'La Boheme' (Aznavour)...

Adieu, donc, ma photo dedicacee du Professeur en imper. Sachez cependant que je serai a votre entiere disposition si etre a votre disposition pourrait me rendre recipiendaire de cette photo...

Maintenant ma question, assez simple en ce lundi matin. Mais d'ou vient cette satanee obsession, chez l'homme, de l'ampleur de leur membre?
 
Roohh la la! Je n'ai pu que trouver une allusion a 'Carmen' dans le post mentionne. Decidemment, j'aurai a revoir mes citations...
 
Moi je suis terrible aux citations...
Mais j'ai une question. Pourquoi les hommes refusent-ils de m'embrasser après que je les suce?
 
"Patience et longueur de temps font plus que force et que rage"
La Fontaine

PD = Pedale. Mais pourquoi attribue-t-on cette expression aux homosexuels ne fait malheureusement pas partie de mes connaissances.

Ma question, en ce mardi apres-midi plutot humide: pourquoi, dans les films porno traditionnels destines a un public general, y a-t-il toujours une scene homosexuelle entre 2 femmes, mais jamais entre 2 hommes? Si l'homosexualite est excitante, ne devrait-elle pas l'etre autant chez un sexe que chez l'autre?
 
Message du Surveillant général

Analyse épistémologique
 
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Quel séminaire, mes enfants

'Université du Nord-Michigan,
 
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Plaisir d'offrir, joie de recevoir

Rien ne compare au son d'un homme en extase. Sauf le son d'un homme en extase à cause de moi.
Pour moi, le plaisir d'offrir est plus grand que la joie de recevoir. Même avec mon expérience limitée, cela m'est évident.
Quand j'aime un homme, il devient mon dieu, tant que je l'adore. Dangereux pour moi, c'est vrai, car il y a plein d'hommes qui en prendraient avantage...
Mais à partir de la première caresse, je ne cherche qu'à lui donner plaisir. Où sont ses points les plus sensibles? Comment puis-je les exploiter au bout, quel chemin dois-je prendre pour guider cet homme au meilleur orgasme possible?
Et en faisant l'amour à mon homme, tous ses souffles, tous ses frémissements, tous ses gémissements et tous ses mots - chuchotés ou criés - tous sont mes récompenses, amplifiant, intensifiant mon plaisir. Cela m'est déjà arrivé de jouir sans même m'avoir fait toucher, mais seulement à voir mon homme jouir...
Moi, c'est de savoir que moi j'ai le pouvoir de faire tant plaisir à un homme qui m'excite.
 
Eh ben oui, je rends mon devoir en retard. Faites-en ce que vous voulez, cher Professeur; donnez-lui la note qu'il merite, ne le lisez pas et 'coulez' moi pour ce cours, punissez-moi... je suis certaine que vous saurez meme trouver une autre option qui a pu m'echapper.

Plaisir d'offrir, joie de recevoir. A l'aide d'exemples tirés de votre vécu, décrivez laquelle de ces propositions satisfait le plus votre intelligence.

Egoiste. Je l'admets. J'ai longtemps pense (malgre mes maigres 23 annees de vecu) qu'offrir etait ma preference. Ce l'est, en general, mais je dois avouer que recevoir (ou meme prendre), dans un contexte sexuel, est ma preference.

J'adore sucer une bite bien tendue, la lecher lentement, tendrement presque. Sucer le gland tout doucement en chatouillant ses couilles. Donner de petits coups de langue sous le gland en le regardant droit dans les yeux, contaster qu'il est a mercie, sous mon emprise, que si j'arretais de le stimuler la, maintenant, il se mettrait peut etre a me supplier de continuer, ou alors il pourrait se mettre en colere et me prendre sur-le-champ...

Oui, je lui donne du plaisir, mais j'en prends. Si sucer sa queue ne m'excitait pas, je ne le ferais pas, meme si bien evidemment cela lui procure du plaisir.

La, encore, tout depend de l'homme avec qui je m'amuse. Avec certains, je serai totalement a leur service, m'oubliant pour leur pur plaisir, prete a etre utilisee simplement pour les entendre me dire 'Bonne fille' (oui, comme une chienne). Par exemple, cet homme qui m'a pelotee pendant une bonne demi-heure alors qu'il conduisait sa voiture, et qui s'est gare dans une rue deserte me disant: "Petite salope! J'ai assez travaille maintenant! Suce ma queue, et suces-la bien!" ou quelquechose du genre. Je n'ai pas joui cette fois-la, mais je crois que je n'ai jamais ete aussi excitee.

Avec d'autres, c'est tout le contraire. J'ai le desir de les utiliser pour mon plaisir. Me servir de leurs mains, leur bouche, leur queue jusqu'a ce que je sois satisfaite et les jeter hors du lit une fois ce but atteint. Par exemple cet homme qui etait a ma disposition en tout temps. Il pouvait me lecher pendant des heures, et il le faisait bien! Je l'ai appele un lundi matin lui disant: "J'ai envie de ta bouche, et peut-etre de ta bite, ca te dis de venir chez-moi?" Il est arrive, tout prore et rase, il avait meme mis le parfum que je prefere. Il etait si mignon, presque gene d'etre la. Cette fois-la, il m'a fait jouir deux fois avec sa bouche, je l'ai embrasse, me goutant sur ses levres et sa langue, et il m'a remerciee! Je crois que j'ai joui simplement en l'entendant dire "Merci". J'ai ete mechante et l'ai renvoye a son travail avec son erection, avec instructions d'aller aux toilettes toutes les heures et de se toucher jusqu'a ce qu'il bande, et de revenir chez-moi a la fin de sa journee pour que je puisse le sucer.

Donc, d'offrir ou de recevoir, aucune de ces suggestions ne me satisfait plus que l'autre.

Quant a la citation: ces pauvres frères humains qui après moi vivront
Je crois qu'elle est inspiree de François Villon, Frères humains qui après nous vivez .

Je serai probablement absente au prochain cours, Professeur. Peut-etre aurai-je besoin de le rattraper, en prive?
 
Brûlants sont tous tes orifices
Des trois que les dieux t'ont donnés
Je décide dans le moins lisse
D'achever de m'abandonner
 
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Alors...
"------edite------"

Inspiration Miss Magie , Renaud.

Quant au menu... Foie gras de canard (avec son verre de Sauternes), bien entendu.

Faire suivre de baies fraiches et de chantilly. N'hesitez pas a tartiner votre "bite-a-pattes" de chantilly, et prenez votre temps pour lecher la sus-mentionnee chantilly. Ou alors, tartinez-vous la poitrine (opulente ou non, cela n'a aucune importance) de ladite chantilly en regardant votre "sex-toy" dans les yeux. Deux options s'offrent maintenant a vous: lecher vous-meme la chantilly, lui offrant un spectacle interessant s'il aime bien mater, ou allongez-vous langoureusement lui demandant de nettoyer, avec sa langue (et sa langue seulement, si une de ses levres ou de ses mains vous touche vour devrez reprimander le pauvre fucktoy!), vos seins, sans oublier vos mamelons dresses.

Quant aux baies, non, je ne les ai pas laissees de cote; elles sont a tremper dans votre sexe pour ensuite les deposer sur la langue de votre joujou.

Enfin, c'est ce que moi je ferais.

Milles excuses, Professeur, mais la paresse m'empeche encore de changer mon clavier de l'anglais au francais; pas d'accents, donc. Notez que la paresse un vice (peche?) moindre, chez-moi, que la luxure.
 
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Comme plat principal, des pâtes avec une sauce à la crème aux pétoncles avec du parmesan râpé, accompagné d'une baguette et de vin. Je n'ai jamais tant ri avec un homme en mangeant que lorsque nous avions mangé cela. Le bonheur mène à un autre type de plaisir...

Et ensuite, pour dessert, viens-t'en avec moi, descendons sur la plage... Oui, allons nous asseoir là-bas, proche de cette roche-là. Et tu te demandes, mais qu'est-ce qu'elle sort de là-derrière? Une couverture que j'étends sur le sol, pour empêcher le sable de se rendre partout, et un panier de fraises sauvages, mon cher, je les ai cueillies cet après-midi du champ à côté de chez-nous. J'en prends une et je l'écrase doucement contre mes lèvres, laissant le jus sucré me les teindre avant de manger la baie. Toi, tu t'en prends et tu les manges, mais je t'interrompts pour t'enlever ta chemise. Tu m'observe en train de dessiner sur ton ventre avec un des petits fruits, avant de te nettoyer avec ma langue. Je me colore les mamelons rouge, et tu n'hésites pas de me les sucer. Le bruit des vagues noie le reste de la nuit...
 
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