Suze, Pure Malt, Grand Cru etc...

Aventures de bureau

Début Juin 2004, j'ai emprunté quelques jours les bottes d'une collègue de travail, carrément !
Ce n'était pas la première fois que j'empruntais des bottes de femme, mais c'était la première fois que je faisais ça sur mon lieu de travail !

La femme en question est une grande et belle black d'une quarantaine d'années dont j'avais remarqué qu'elle mettait assez souvent des bottes et que, malgré son mètre soixante dix sept, les talons de 7/8 cm ne lui faisaient pas peur.
J'avais déjà auparavant 2/3 fois lancé des "ballons d'essai", des phrases du genre "Elles sont sympa, tes bottes", "C'est du 39/39.5 comme pointure, non?" (en fait, elle m'a dit un jour que c'était du 40) etc..., etc...
Et puis un matin, je l'ai rebranchée en lui disant que je n'avais pas encore eu l'occasion de voir à ses pieds les bottes qu'elle portait ce jour là (c'était faux, mais personne d'autre que moi ne le savait, alors) !!!
Et elle de me répondre qu'en fait elle possédait plusieurs paires, dont une paire "qu'elle ne mettrait jamais pour venir travailler". Je lui dis "Pourquoi, ce sont des cuissardes?" et elle me répond que oui ! Du tac au tac, je lui ai demandé qu'un jour elle les amène, juste pour me les faire voir, mais elle m'a dit que ce n'était pas possible, que les gens jasaient trop facilement. Les jours suivants, j'ai cherché, mais en vain, un moyen (le plus discret possible, quand même) pour reparler de ça avec elle.
Et puis, il y a quelques temps, j'ai été amené à faire une intervention "commando" sur son PC. Il s'agissait de profiter d'une absence de sa collègue pour aller récupérer sur l'autre machine des informations qu'elle ne voulait pas donner et dont elle avait besoin. Elle était super contente de ce que j'avais accepté de faire ça pour elle en douce et m'a demandé "comment elle pourrait bien me remercier"; alors, j'ai sauté sur l'occasion : je lui ai dit que si elle voulait vraiment me remercier, elle me ferait le plaisir de ma vie en m'apportant ses bottes. Elle m'a demandé pourquoi, et là, sans lui révéler tous mes secrets, je lui ai très clairement laissé deviner mon fétichisme. Je lui ai dit que j'adorais les bottes, en particulier les cuissardes. Et j'ai enfoncé le clou (en tous cas, en ce qui me concerne, c'était un "quitte ou double") en lui demandant de "bien sûr, ne rien en dire à ma femme" qui travaillait au même endroit que moi à cette époque. Elle m'a dit "bien entendu, je comprends, pas de problème" et je lui ai fait confiance…

Lorsqu'elle m'a dit un Mardi qu'elle me les amènerait le lendemain, j'ai cru que je devenais fou. Le soir, chez moi, j'ai beaucoup de mal à m'endormir, car j'étais complètement obsédé par cet événement : elle allait m'apporter ses cuissardes !
Il était EVIDENT pour moi que j'allais les passer aux pieds, car c'est elle-même qui avait choisi le Mercredi "parce qu'il n'y a quasiment personne ce jour là" dans son service !
En fait, il y a eu un loupé ce matin-là, "parce qu'elle avait super mal dormi et qu'elle s'était réveillée la tête dans le seau comme on dit. Du coup, elle avait oublié de les apporter.
Par contre, ce qui a eu immédiatement "un effet vasodilatateur sur mes corps caverneux", c'est qu'après m'avoir demandé si je serai là le surlendemain, elle a marqué sur un bout de papier qu'elle a mis dans sa poche "Bottes Vendredi 11/06" en ajoutant "de toutes façons, c'est calme ces jours-ci, et puis ma collègue est absente du bureau".
Je me suis mis à bander suffisamment pour que ça commence à être visible sous mon jean !
Elle avait même en fait écrit "botte" sans "s" et je lui ai fait remarqué en lui disant "Tant qu'à faire, je préfère que tu m'apportes les deux" !
Je savais que je devais faire très attention, que c'est un jeu qui pouvait devenir facilement dangereux pour moi, mais j'avais envie, besoin d'aller plus loin. Je suis presque sûr qu'elle savait déjà que je voulais mettre ses bottes et qu'elle acceptait cette idée.
C'est sans doute en relation avec ça que, depuis quelques temps, je m'étais mis à fantasmer facilement sur elle.
...Et je me suis même demandé dans quelle mesure il n'y avait pas une certaine réciprocité à ce niveau.

Et puis est arrivé le Vendredi.
Quand elle les a prises dans le sac plastique pour me les montrer,j'ai eu une petite déception, car je rêvais de voir surgir des cuissardes en cuir à talons aiguilles, et j'ai découvert des genouillères dont le pied est en cuir, mais la tige en tissu stretch, avec des talons carrés de 4/5 cm "seulement" !
En fait, elles ressemblent un peu (les broderies multicolores en moins) à celles que porte Heather Graham dans le film Austin Powers 2 ("L'espion qui m'a tirée").

Manque de bol pour moi, il y avait du monde dans le bureau voisin. Je lui ai dit que "ça m'embêtait, car j'aurais bien voulu pouvoir les enfiler". Elle m'a demandé "Tu voudrais les essayer?" et j'ai dit "Oui" pendant qu'elle me souriait. Alors, elle m'a dit "Reviens tout à l'heure, vers 11H00/11H30, il devrait y avoir moins de monde" !!!
Entre 11H30 et 11h45, il y a eu effectivement "moins de monde", mais encore trop pour que je me lâche jusqu'à les mettre. Ce n'était pas par rapport à elle, au contraire, j'aurais vraiment voulu qu'elle me voie avec ses bottes aux pieds. Mais je craignais que quelqu'un n'entre au mauvais moment !
C'est quand même là que je lui ai dit que j'aurais voulu aussi qu'elles aient plus de talons. Elle m'a dit "Ah mais j'en ai avec des talons plus hauts, mais elles s'arrêtent en dessous du genou". Et quand je lui ai dit "Il faudra que tu me les apportes aussi", elle n'a pas dit non !
Ensuite, c'est elle même qui m'a proposé "Je dois faire des courses cette aprème (merci les 35 heures et les RTT), donc je pensais les laisser au bureau jusqu'à Lundi. Si tu veux, tu n'as qu'à les prendre..." !

A midi moins le quart, nous sommes allés ensemble à la cafète pour acheter une salade à emporter, et là, elle m'a dit ce qui me fait espérer maintenant des lendemains qui pourraient peut-être chanter... très fort !
Elle m'a d'abord demandé "A propos de ce qu'on disait tout à l'heure, tu en as déjà mis, toi, des talons hauts?". J'hésitais à ce moment précis encore un peu à tout lui dire, à lui avouer que "bien sur, j'en ai même 2 paires à moi". J'ai juste répondu "Oui, ça m'est arrivé, ... quelques fois."
Elle m'a dit "Ca te plairait de faire genre drag-queen?" Je lui ai dit "Oui et non : en fait j'ai pas du tout de pulsions homo, mais par contre m'habiller comme ça, je veux dire en privé, oui, pourquoi pas, ça me brancherait...". Elle m'a dit "Ah mais, ne t'inquiètes pas, je ne pensais pas à ce coté là de la chose. Tu sais, pour moi, ce n'est pas parce qu'un mec fait ça qu'il est pédé !".

Manque de bol, on arrivait dans la file d'attente et il y avait juste devant nous une femme qui travaille dans le même service que ma chèrétendre, et je lui ai demandé de remettre à un peu plus tard la fin de notre discussion.
On est revenus vers son bureau, et sur le chemin, je lui ai dit que le problème était que les gens faisaient beaucoup trop facilement des amalgames, et que j'étais certain que si quelqu'un savait que je mettais des talons, il me penserait aussitôt homo et se mettrait à jaser ! Et elle m'a dit "Ah mais, il ne faut pas le dire, tu le gardes pour toi tout seul" !!!
Mais "Nom de Moi", comme dirait un de mes amis, je n'en reviens pas !
J'ai quasiment déclaré mes fantasmes à cette nana, et non seulement elle ne m'a pas traité de barje, mais en plus, elle semble m'encourager !!!
Peut-être que la prochaine étape pourrait être que je me travestisse (complètement) devant elle. Je m'en sens complètement capable, je me demande même si ça ne la brancherait pas !

Elle m'a donc donné le sac plastique avec les genouillères dedans en me disant que je pouvais le garder jusqu'à Lundi et je suis remonté à mon bureau. J'ai fait une..."escale technique" aux toilettes de l'étage et puis j'ai pris les clefs de ma voiture et je suis allé chez des amis. Au dernier moment, je n'ai pas osé me présenter devant eux avec les bottes et j'ai remis mes tennis, mais en repartant, je me suis arrêté dans une galerie commerciale et je l'ai traversée dans les deux sens sur mes 4/5 cm de talons.
En fait, c'était trop facile, dans la mesure où ce sont des talons assez larges, ça se remarquait à peine si on ne le sait pas et qu'on ne fait pas attention.

Au départ, je pensais laisser les bottes dans le tiroir de mon meuble de bureau pour le week-end, mais en fait, j'ai changé d'avis au dernier moment : je devais passer faire une course dans un autre centre commercial en sortant du boulot, et je voulais y aller botté. Comme en plus, le Vendredi après-midi, il n'y a quasiment plus personne dans les bureaux, je les ai mises à mes pieds à 16H30 en quittant le mien.
Je me souviens qu'un orage a éclaté et que j'ai du traverser le parking en courant avec ! Mais bon, comme il m'est déjà arrivé une fois de courir avec des bottes à talons plus hauts et plus fins au pied, ça m'a paru carrément facile avec ces talons-là. En tous cas, j'étais très à l'aise.
Le Samedi, je suis allé faire les courses et ce jour-là, ce n'étaient pas mes tennis que j'avais aux pieds…

Finalement, j'ai gardé ces genouillères jusqu'au Mardi matin, car le Lundi soir, j'avais rendez-vous chez le dentiste et j'avais (une fois de plus) envie de me montrer dehors avec des bottes de femme.
Quand je lui ai rendues, j'en ai remis une couche sur le fait que j'aurais voulu qu'elles aient des talons plus hauts et plus fins. Elle m'a dit "Ah oui, j'en ai des comme ça". Et finalement, elle m'a promis qu'à la rentrée suivante, elle me les prêterait ses autres bottes, celles "qui ont les talons les plus hauts".


En fait, en réfléchissant au "pourquoi du comment de la chose", je crois savoir ce que je recherche dans ce genre de situation ou bien quand je peux complètement me travestir. C'est un sentiment finalement assez contradictoire, l'exaltation que peut procurer à un homme le fait de marcher dans la rue en portant des atours féminins, cette sensation unique engendrée par la menace d'être démasqué mêlée d'un obscur désir qu'un regard s'attarde trop, l'envie de "profiter" du bruit des talons sur le sol exacerbée par la crainte que quelqu'un d'autre l'entende aussi, le besoin de caresser le cuir d'un vêtement malgré la féminité de sa coupe qui tranche parfois avec celle de celui qui le porte…
 
Les genouillères d'Heather Graham

(...) j'ai eu une petite déception, car je rêvais de voir surgir des cuissardes en cuir à talons aiguilles, et j'ai découvert des genouillères dont le pied est en cuir, mais la tige en tissu stretch, avec des talons carrés de 4/5 cm "seulement" ! En fait, elles ressemblent un peu (les broderies multicolores en moins) à celles que porte Heather Graham dans le film Austin Powers 2 ("L'espion qui m'a tirée").

Voici une photo tirée du film...
 

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